Chiffres immobiliers : la tendance du marché immobilier pour septembre ?

La rentrée et l’immobilier vont-ils faire bon ménage ? Quelle tendance pour septembre en terme d’immobilier ? Le climat particulier de cette rentrée rend tous les acteurs assez nerveux. Et les incertitudes bloquent les décisions. Comment vont se comporter les Franciliens envers le secteur ?

La rentrée et l’immobilier, la tendance.

La résilience du marché immobilier est notable post-confinement. Les menaces restent bien présentes malgré tout. La crise touche le marché de l’emploi et par rebond le marché immobilier. Les chiffres du chômage auraient dû infléchir les données. Les notaires témoignent pourtant de la forte appétence des franciliens pour l’acquisition de bien immobilier. Mais comment se traduit ce phénomène ?

L’analyse du phénomène immobilier.

L’explication est plutôt protéiforme. Le besoin de changement de logement par peur du re-confinement tout d’abord. Ensuite on note un réel besoin de sécurisation des économies, face aux soubresauts des marchés financiers. Puis, la crainte de voir émerger de nouvelles contraintes fiscales. Enfin, plus simplement la sécurisation des économies liées au confinement qui procure une enveloppe d’apport plus importante développe les envies d’acquisition. La pierre reste pour les Franciliens une valeur refuge et une garantie capitalistique qui leurs permet de générer des revenus. Après les épisodes gilets jaunes, qui ont poussé les Français à l’économie la pandémie les encourage à l’optimisme et aux changements de vie.  « Le recentrage des orientations des Français vers des besoins essentiels, révélés par la crise sanitaire, semble naturellement les amener à considérer la qualité de leur logement. Comme un paramètre primordial, plus absolu encore qu’il ne l’était traditionnellement : un projet de vie repose sur un projet immobilier. »

En synthèse à quoi s’attendre pour la rentrée 2020 ?

La rentrée devrait être plutôt sereine, hors un profond déclin économique et/ou une catastrophe sanitaire. Le ralentissement de la folle envolée des prix. Le maintien des volumes de ventes à niveau pérenne devrait garantir la résilience du marché. A l’étude des chiffres, les notaires estiment que la rentrée devrait être l’amorce d’un nouveau cycle immobilier.

Vague de douceur en immobilier au premier trimestre 2018

Vague de douceur en immobilier pour ce début d’année, avec un léger fléchissement des volumes de transaction indiqué par les réseaux immobilier pour ce premier trimestre 2018. Un maintien des prix pour les notaires. À la suite de l’année record qu’a été 2017, les réseaux ne sont pas mécontents de leur début d’année et les notaires restent plus prudents. Quels sont les présages en immobilier pour les professionnels ?

Une vague de douceur à quoi doit on s’attendre en 2018 pour l’immobilier ?

Après une année record en 2017, les chiffres indiquent un léger fléchissement en 2018. D’après le réseaux ORPI, la baisse n’est presque pas perceptible. Leurs chiffres ne baissent que de 1 % autant dire rien. Néanmoins, on enregistre des volumes de ventes moins important concernant les primo-accédants. Les modifications des aides gouvernementales pour l’accession à la propriété (PTZ, …) et les baisses de demande de prêts restent des indicateurs qui laissent entrevoir une baisse d’activité sur le marché immobilier. Alors qu’en pensent les notaires ?

Si pour Christine Fumagalli, 2018 devrait être encore une bonne année. Avec un seuil de moins de 80 jours de vente pour les biens confiés à ORPI. Les notaires eux confirment une tendance plus sage en ce début d’année. S’ils affirment que les prix des appartements vendus dans l’ancien devraient rester supérieur à 4 % et pour les maisons anciennes à plus 2 % sur des valeurs déjà intéressantes. Les notaires précisent que les volumes des transactions commencent à se calmer. Cependant certaines villes décrochent des records.

Paris affole les prix

Paris sera toujours Paris ! Une vague de douceur en immobilier mais avec des prix qui continuent à progresser, à Paris,  pour atteindre 9 300 euros au m², soit une hausse de près de 9 % en seulement un an.  Et la province décide de suivre l’exemple de la capitale, avec une hausse des prix moins évidente mais encore présente. Les notaires estiment à plus de 2,3 % les prix de ventes pour les appartements anciens, et presque encore 2% pour les maisons anciennes. Pour les notaires la tendance est à l’accalmie concernant les volumes des transactions mais avec un maintien des prix.

Des professionnels qui ne sont pas au diapason

Si les notaires notent une vague de douceur en immobilier,  avec un maintien des prix sur un plan général. ORPI note pour son réseau une légère hausse des prix sur certains biens dans les grandes villes. Néanmoins, le réseau annonce pour certains secteurs des légères baisses de prix comme à Marseille, Clermont-Ferrand, Brest, Le havre et Reims.

C’est pourquoi www.lesiteimmo.com vous propose un petit point sur les prix ce printemps. Découvrez demain les prix sur les grandes villes de France