Prix de l’immobilier : Lyon arrive à saturation, Toulouse la ville où investir

 

Les prix de l’immobilier maintiennent leur hausse dans les 10 principales villes de France. Lyon affiche la plus forte hausse de prix de 2019. Voilà le constat du baromètre des prix de l’immobilier récemment publié.

Meilleurs Agents vient de publier les prix de l’immobilier Nationaux pour 2019 et si la moyenne Nationale indique une hausse de près de 2%, les 10 principales villes de l’hexagone dépassent les 5% de hausse.

La hausse record des prix de l’immobilier pour 2019 est atteinte par Lyon. Les prix flambent à Lyon avec une hausse de plus de 11%, suivi de près sur le podium par Nantes avec 9,5% et enfin, Toulouse, la ville rose qui progresse de Plus de 7% en 2019.

Les spécialistes économiques et financiers précisent que les baisses des taux de crédit n’est pas le seul facteur favorable à ces hausses de prix sur les grandes villes de France. En effet, ils s’accordent à mentionner également l’allongement des durées de crédit.

Quelle prévision pour les prix de l’immobilier en 2020 ?

Les économistes pensent que la hausse des prix de l’immobilier devrait se stabiliser pour les communes rurales mais devrait continuer à progresser sur certaines grandes villes de France. Nantes et Toulouse devrait connaître encore de belle phase de progression. Les indicateurs sur lesquels s’appuient les économistes indique que le nombre d’acheteurs sur ces villes est supérieur de 27% (pour Toulouse) par rapport au nombre de biens à acquérir. De quoi booster les prix de l’immobilier sur les villes où la tension immobilière entre l’offre et la demande est de plus en plus forte.

Lyon, des prix de folie !

Toulouse et Nantes on encore un peu de marge de manœuvre contrairement à Lyon. En effet, la belle Lyonnaise arrive à saturation. Les observateurs constatent que le prix du m² atteint près de 4500 € en moyenne ce qui permet à un ménage au revenu médian d’acquérir un bien de 38 m² contre 51m² à Toulouse. De plus, on constate un temps d’amortissement du bien immobilier en forte progression pour Lyon puisque l’on atteint sept ans contre quatre ans à Toulouse.

Découvrez les prix de l’immobilier à Lyon

La ville de Lyon vous propose de visitez la capitale des Gaules

https://www.youtube.com/watch?v=D2AEDSNgI3A

Immobilier Bourg en Bresse : les prix en immobilier enflent encore

Bourg en Bresse, une ville où la hausse des prix reste assez présente. Les transactions continuent à aller bon train dans la ville. Ce sont les grandes surfaces en centre-ville qui remportent la faveur des acquéreurs. Un petit tour des prix immobilier s’impose.

Bourg en Bresse, l’immobilier reste haut

Les prix ne prennent pas de pause à Bourg en Bresse. Les transactions conservent un volume assez important. Plus de 4% de hausse, pour les prix des appartements. Que l’on se situe dans le bel ancien, ou dans les immeubles de standing qui ont moins de 10 ans. Concernant les maisons, on constate une hausse des prix de plus de 10 % due à une forte pénurie des biens immobilier. Néanmoins, cette inflation touche essentiellement les produits immobiliers d’une surface intéressante, pour lesquels il n’y a pas  à prévoir de travaux de rénovation. Compter 322 000 euros pour cette maison en très bon état des années 2000.

Que deviennent les investisseurs à Bourg en Bresse ?

Si l’investisseur désire obtenir un bon rendement de son investissement, il devra acquérir un immeuble entier. Il pourra espérer un rendement de près de 9%, une rente intéressante et profitable. Ils devront éviter d’investir dans des biens datant des années 1960 et 1970, dépourvus de tout standing. En effet, les prix pour ces types de biens immobilier tendent à baisser de près de 5% ces dernières années. Alors les experts prendront le temps de trouver la perle rare à Bourg en Bresse.

Apprenez à aimer Bourg en Bresse et découvrez Bourg en Bresse grâce à loffice du tourisme

Annemasse : + 5 % dans le neuf sur les prix en immobilier

Annemasse, une forte inflation des produits « de qualité » avec près de 5% de hausse. A quoi est dû cette progression et comment ce comporte le marché immobilier à Annemasse ? Qu’en est-il du neuf sur la ville ? Un petit point sur la ville d’Annemasse pour les futurs acquéreurs.

Annemasse, une ville en plein réaménagement.

La ville bouge et enclenche de fort réaménagement sur Annemasse. Annemasse a vu le nombreux d’acquéreurs augmenter et investir dans sa ville. Ainsi, de nombreux projets ont abouti. Les aménagements de la gare contribuent fortement à l’engouement des acheteurs, avec l’arrivée du Leman Express. Une forte valeur ajoutée qui attirent de nombreux transfrontaliers. Mais si la ville d’Annemasse  devient une ville de prédilection, pour les professionnels les stocks eux semblent s’amenuiser et vont déclencher une plus forte envolée des prix si la demande continue à progresser.

Comment se porte le logement neuf à Annemasse ?

Le neuf se vend bien dans le secteur d’Annemasse. Près de 5 000 euros le mètre carré pour les appartements neufs, tandis que ceux du début des années 2000 se négocient à un prix plus proche de 3000 euros le mètre carré soit une hausse de près de 5 % sur ce marché du neuf. Cependant il y a un type d’acquéreurs qui revient fortement sur la ville d’Annemasse. Ce sont les acheteurs de biens « haut de gamme » qui cherchent à acquérir à proximité de la Suisse et là les prix oscillent entre 600 et 700 K€.

Cependant les professionnels travaillent également sur les zones pavillonnaires où les prix restent à des valeurs moins importantes (hors produits exceptionnels). Les budgets se situent entre 200 000 et 400 000 euros pour une petite maison avec terrain. De quoi se loger à un tarif intéressant. Renseigner vous auprès des professionnels pour trouver le bien de vos rêves en cliquant ici.

Le siteimmo.com vous proposent également les produits qui ont des prix très attractifs, consulter la liste ici.

Découvrez les environs d’Annemasse en vidéo grâce à l’office du tourisme :

Immobilier : Lille, une ville qui bouge en immobilier

Lille remanie complètement son marché immobilier en suspendant l’encadrement des loyers. De quoi redonner de la vigueur aux investisseurs. De plus, la commune ouvre de nouvelles formules d’aides pour favoriser la construction. De quoi réfléchir pour devenir propriétaire.

Lille les prix s’envolent

Malgré une hausse des prix comprise entre 2 et 4 %, le marché de l’immobilier se porte plutôt bien à Lille. D’ailleurs, les stocks des professionnels ont tellement fondu (compter 1 mois en moyenne pour vendre) que la pénurie commence à se faire sentir sur certains types de produits. Les primo-accédants vont peiner désormais pour accéder à la propriété d’une maison. Ils doivent se rabattre sur les appartements pour lesquels, selon le quartier et la surface, les prix évoluent entre 2 000 euros et 4 000 euros. La mairie ayant mis des aides incitatives en place (logement à prix maîtrisé, foncier solidaire) les ménages se rabattent sur le neuf qui leur proposent des prix plus acceptables. Pour les secundo-accédant qui désirent augmenter leur surface, la pénurie est plus importante. Il faut qu’ils envisagent un budget minimum 380 000 euros pour acquérir un logement plus grand dans le Vieux Lille. Le neuf pourra encore faire baisser la note de près de 50 000 euros, mais dans ce cas l’hypercentre n’est plus d’actualité. Retrouvez toutes les maisons disponibles à Lille sur www.lesiteimmo.com.

Lille la location redémarre !

La suspension de l’encadrement des loyers sur la grande ville de Lille relance l’engouement des investisseurs. Avec plus de 150 000 étudiants dans la belle ville du Nord, Lille est un pôle attractif pour les propriétaires. Notamment, sur les petites surfaces meublées qui commencent à manquer sur le marché immobilier et donc se reloue rapidement. Avec un rendement brut moyen de plus de 5 %, les investisseurs se ruent sur les studios. Mais attention aux charges qui pèsent fortement sur les prix.

Immobilier : Nice la location reste une valeur sûre

Le marché immobilier à Nice reste fluide dans cette ville francilienne. La côte reste une valeur sûre sur le plan locatif et assure toujours de bon rendement. Les produits malgré la hausse de la côte se vendent assez rapidement, moins de 3 mois.

Que se passe-t’-il pour les prix à Nice ?

Les prix continuent leur progression de 3% à 5 % par an. Néanmoins, cela ne gène pas le marché qui fonctionne bien sur la côte niçoise. Le carré d’or voit ses prix osciller entre 6 000 euros et 7 000 euros le mètre carré, alors que les quartiers plus côté atteignent facilement 10 000 euros le mètre carré, de quoi faire pâlir la capitale. Alors qui achète quoi à Nice ?

Les types de biens recherchés à Nice.

Avec un rendement locatif de plus de 10 %, ce sont les investisseurs qui affluent sur le secteur Niçois. Ils recherchent des surfaces allant jusqu’à 25 mètres carré dans les quartiers de Saint Augustin prioritairement, Californie et Riquier. Les prix dans ces secteurs de la belle ville méditerranéenne offrent des rendements locatifs très intéressant qui approchent les 12 %. Les prix d’acquisition des appartements à louer à Nice s’évaluent entre 90 000 euros et 130 000 euros. Pour trouvez votre futur logement à Nice recherchez sur  www.lesiteimmo.com.

Pour la catégorie secundo-accédant ou retraités, ils recherchent, pour leurs parts, des logements plus grands avec si possibles une terrasse ou un extérieur. Les appartements ou maisons ciblés contiennent 3 à 4 pièces et atteignent une surface de 100 m². Les quartiers les plus recherchés sont le Fabron, Cimiez et l’hypercentre. En termes de prix immobilier dans ces parties de Nice, ils évoluent entre 450 000 euros et 550 000 euros.

Quant aux primo-accédants, c’est le nord de la ville qui les attirent le plus. Ils ciblent les surfaces de près de 60 m² pour un budget d’investissement compris entre 150 000 euros et 200 000 euros. Ils peuvent bénéficient du PTZ et du prêt bonifié de la ville à 0,5 % pour un montant maximum de 30 000 euros. Ce sont les quartiers de Libération et de la Gare qui voient les programmes neufs s’enchainer aussi retrouvez tous les programmes neufs à Nice sur www.lesiteimmo.com. Ceux-ci proposent des produits à des prix très intéressants et permettent de bénéficier des aides mises en place par la ville.

 

Immobilier : Grenoble le marché locatif baisse

Grenoble, la cinquième ville la plus innovante selon Forbes, voit son marché immobilier se stabiliser. De quoi rassurer les propriétaires. Avec près de 40 % de propriétaires, la ville a un marché immobilier local stable et fluide. Mais les professionnels du secteur ont peur que l’immobilier se grippe un peu sur l’année 2018.

Grenoble et ses prix.

Après des années de baisse de prix plus de 6 % en cinq ans, la ville de Grenoble affiche une certaine stabilité voir une légère hausse cette année. De plus, les professionnels du secteur notent une légère hausse des transactions. Cependant, certains secteurs du logement commencent à faire grise mine.

Que se passe t’il sur le marché du logement à Grenoble ?

Si vous envisagez d’investir à Grenoble, privilégiez les deux-pièces de 40 m² dans le bel ancien. Favorisez les quartiers hypercentre, Ile-Vert, Saint-Martin d’Hères proche des facultés. Pour le budget prévoyez entre 100 000 euros  à 130 000 euros. Mais sachez que l’offre est grande sur la ville en logements locatifs, retrouvez les appartements à louer à Grenoble sur www.lesiteimmo.com. Et même si les appartements attirent toujours autant les étudiants ou salariés, le marché se tend pour ce type de biens immobiliers.  Le taux de rentabilité est proche de 4 % en moyenne pour le locatif, mais Saint-Martin d’Hères affleure les 6 %. Sachez que les biens les plus recherchés restent les petits studios avec une cuisine équipée.

Quant aux primo-accédants, les trois-pièces de 65 mètres carré restent leurs biens de prédilections. Ils se concentrent sur les quartiers d’Ampère, Libération, Rhin et Danube et Joseph-Vallier. Les prix se stabilisent à 150 000 euros pour un logement en bon état.

Les secundo-accédants, eux, ils préfèrent les jolies maisons du quartier d’Ampère à rafraîchir qu’ils retrouvent sur www.lesiteimmo.com. Cependant les quartiers de Corenc, La tronche et Meylan sont convoités également. Concernant le budget qu’ils allouent à leurs acquisitions, il se situe entre 400 000 euros et 500 000 euros si la maison à acheter est en bon état.

Immobilier : Marseille la ville où investir

Marseille atteint un record en termes de pouvoir d’achat. Une baisse des prix de plus de 7% en cinq ans et seulement une hausse de 2 % des prix immobilier. Marseille est une ville où il fait bon acheter ou investir.

Les prix à Marseille ou en sont-ils ?

A Marseille les prix des appartements s’élèvent à près de 2 400 euros le m² et plus de 3 000 euros le m² pour une maison. La fonte des prix, les taux d’emprunt bas, les aides de l’état et des vendeurs bien moins gourmands tout est réuni pour laisser la place aux acquéreurs. Aussi, Marseille atteint un taux record en termes de pouvoir d’achat confirme le réseau Optimhome. Une manne bénéfique, pour les professionnels qui liquident leur stock de biens immobiliers bien plus rapidement. Retrouvez les meilleures opportunités à Marseille avec www.lesiteimmo.com.

Qui achètent à Marseille ?

Les investisseurs se taillent la part belle de la cité Phocéenne. Une mine d’or pour les investisseurs qui chassent la petite surface ou le grand studio des années 1930. Les professionnels précisent que le rendement oscille entre 7 et 10 %. Pour ne rien gâcher, les prix sont bas, compter entre 60 000 euros et  150 000 euros d’investissement. De quoi doper l’engouement des investisseurs pour la belle citée Méditerranéenne. Pour les investisseurs, le bénéfice peut être encore plus intéressant si le logement est mis en location saisonnière.

Le primo-accédant investit aussi à Marseille. Il cible souvent un trois-pièces à rafraîchir dans les secteurs de l’Opéra, Hypercentre, Castellane, Saint-Pierre, Libération, Saint-Loup où les prix s’étendent de 70 000 euros à 160 000 euros. Aujourd’hui, le primo-accédant à Marseille c’est 50 % du marché de la transaction immobilière. S’ils désirent investir dans le neuf, ils pourront compter outre sur le PTZ, sur un chèque Premier logement qui pourra atteindre 4 000 euros. Attention cependant, seul certains programmes immobilier sont éligibles à ces conditions.

Pour le secundo-accédant, Marseille offre de belles opportunités, mais ce type d’acquéreurs devient exigeant « du cachet et de belles prestations »d’après les professionnels de l’immobilier. Mais si les doléances sont précises et claires, elles donnent un petit coup de main aux prix qui avaient bien reculé sur ce type d’investissement. Pour cette clientèle on recherche plutôt des quatre à six pièces dans les quartiers de Prado, Préfecture, Vauban, Bompard, Corniche, Sainte Anne. Le budget moyen se porte à 400 000 euros sur un logement en bon état.

 Immobilier : Lyon l’inflation s’essouffle, la location explose

Lyon se rénove et cela peu rapporter gros ! Le dynamisme économique de la ville et sa forte proportion de cadres poussent les prix de l’immobilier à la hausse. La location saisonnière n’est pas étrangère à cette côte haussière. Des prix qui boostent le marché immobilier de la location. Mais les prix concernant la vente semblent se stabiliser un peu.

Lyon à quel prix ?

Malgré une hausse de 6 % des prix de l’immobilier à Lyon, le président du conseil régional des notaires de Lyon affirme que « Elle devrait marquer le pas, les acquéreurs se montrant désormais plus raisonnable ». Aujourd’hui les transactions immobilières sur la capitale des gaules se négocient entre 3 500 euros et 5 000 euros le m² en moyenne.

Qui achète à Lyon ?

Si le primo-accédant envisage souvent d’investir dans un deux pièces, datant des années 60 à 90, à rafraîchir dans les quartiers de Point-du-jour, Vaise, Gerland, Jean-Macé ou Villeurbanne. Il prévoit un budget compris entre 100 000 euros et 180 000 euros. Néanmoins, les garanties des logements neufs séduisent également les jeunes et surtout leurs offres d’autres opportunités à des prix variant entre 2 800 euros et 3600 euros les m² (voir les offres de logements neufs ici). De quoi faire réfléchir les acquéreurs, qui répondent aux conditions du PTZ et qui peuvent ajouter une aide du Grand Lyon, celle-ci pouvant aller jusqu’à 5 000 euros en sus.

Pour les familles qui possèdent déjà un bien immobilier, ils se tournent vers les quartiers du Vieux Lyon, Presqu’île, Tête d’Or, Préfecture et Brotteaux. L’inflation n’a pas entaché l’engouement pour ces quartiers de Lyon. Les ménages privilégient les quatre à cinq pièces qui affichent des prix moyens de 500 000 euros.

En ce qui concerne les investisseurs, la capitale des Gaules proposent des deux pièces avec de gros travaux intéressants en hypercentre et sur le quartier de la Croix-Rousse, pôles très touristique. Les prix commencent pour ces biens immobiliers à 150 000 euros. Pour un bon investissement, le quartier de la Part Dieu est un filon à suivre. En effet, le quartier subit de fortes rénovations et est devenu un pôle très attractif.

La location saisonnière multipliée par quatre à Lyon

Les petites surfaces s’arrachent et entraînent des surenchères importantes à Lyon. Les quartiers touristiques comme Tête d’Or, la presqu’île, la Bourse, les Brotteaux et Croix-Rousse sont très demandés. On estime dans certains quartiers une rentabilité pouvant atteindre 4 %. Il faut noter que la location saisonnière a été multipliée par quatre. Ce qui touche le marché de la transaction puisque les produits deviennent plus rare dans certains secteurs de Lyon. Mais attention chers investisseurs, si le marché saisonnier est très intéressant à Lyon, la règlementation, elle, se durcit et les contrôles ne cessent de croître, ainsi que le prix des amendes.

Les prix de l’immobilier à Paris

Paris et les prix en immobilier, une histoire de « gros sous ». Alors qui investit dans la capitale et sur quel type de bien immobilier ? Et surtout à quel prix doit-on s’attendre pour un logement à Paris ?

Les prix en immobilier à Paris on en est où ?

10 % de plus pour les prix en un an d’après les professionnels (Century 21 et Guy hoquet). De quoi donner le vertige aux futurs acquéreurs d’un logement à Paris. Aujourd’hui, la capitale est la ville de France où les prix « crève les plafonds ». Dénicher une bonne affaire est un miracle. La plupart des biens intéressants se vendent du « bouche à oreille ». Pour les familles revenues sur le marché des acquéreurs l’année dernière, la tâche est longue et fastidieuse pour trouver un logement qui correspond à leurs attentes. Après l’annulation de l’encadrement des loyers et la mise en place d’un contrôle plus strict sur les locations « airbnb », les investisseurs eux trouvent des opportunités. Cependant, les prix deviennent très audacieux et approchent les 10 000 euros le m².

Qui achète quoi à Paris ?

Si vous envisagez d’acheter votre premier bien immobilier à la Paris, prévoyez un budget compris entre 250 000 et 330 000 euros. Vous achèterez un appartement de deux pièces, environ 30 m² dans un immeuble du 19ème siècle sans ascenseur. Pour les meilleures opportunités, ciblez les secteurs de Guy-Môquet, La villette, Goncourt-Voltaire, Epinettes ou Dausmenil. La négociation des prix immobilier dans ses quartiers oscillent entre 8 000 et 11 520 euros le m² en fonction des secteurs et des surfaces. Attention, ces quartiers sur lesquels se développent des lignes de métropolitain deviennent des cibles à privilégier pour leur fort potentiel de plus-value. Sachez que Paris propose des prêt « Paris logement » évaluer à 39 600 euros maximum pour un ménage de deux personnes.

En revanche pour vous qui avez agrandi la famille et qui souhaitez opter pour une surface plus adaptée, le marché vous est favorable. Puisque le bien que vous possédez à subit une inflation en termes de prix intéressante, par rapport aux surfaces que vous envisagez d’acquérir. En règle générale, vous allez rechercher un produit proche des bonnes écoles pour les enfants. Minimum quatre pièces pour être à l’aise avec un ascenseur et en étage. Sachez que ce produit devrait se négocier entre 800 000 euros et 1,3 millions d’euros. Les secteurs à privilégier se situent dans les XI ème, XIV ème, XV ème et XVIème arrondissements de Paris pour rester dans la fourchette de prix.

Pour vous les investisseurs en immobilier, Paris reste cher est le rendement locatif est à la baisse.Les budget à prévoir se situent entre 180 000 et 220 000 euros pour un studio 20 m² avec travaux. Ciblez les quartiers comme le Père Lachaise, Jules-Joffrin-Marcadet-Poissonniers et Crimée-Ourcq. Près de 16 % de baisse de rendement en 3 ans. Si vous investissez à Paris pariez sur le long terme. Après 15 ou 20 ans vous vous assurez une plus-value très intéressante. Si vous envisagez d’investir pour la location saisonnière attention d’être très prudent et surtout de bien respecter les nouvelles règles en vigueur. En effet, les contrôle sont de plus en plus fréquent et peuvent engendrer de fortes pénalités.

Vague de douceur en immobilier au premier trimestre 2018

Vague de douceur en immobilier pour ce début d’année, avec un léger fléchissement des volumes de transaction indiqué par les réseaux immobilier pour ce premier trimestre 2018. Un maintien des prix pour les notaires. À la suite de l’année record qu’a été 2017, les réseaux ne sont pas mécontents de leur début d’année et les notaires restent plus prudents. Quels sont les présages en immobilier pour les professionnels ?

Une vague de douceur à quoi doit on s’attendre en 2018 pour l’immobilier ?

Après une année record en 2017, les chiffres indiquent un léger fléchissement en 2018. D’après le réseaux ORPI, la baisse n’est presque pas perceptible. Leurs chiffres ne baissent que de 1 % autant dire rien. Néanmoins, on enregistre des volumes de ventes moins important concernant les primo-accédants. Les modifications des aides gouvernementales pour l’accession à la propriété (PTZ, …) et les baisses de demande de prêts restent des indicateurs qui laissent entrevoir une baisse d’activité sur le marché immobilier. Alors qu’en pensent les notaires ?

Si pour Christine Fumagalli, 2018 devrait être encore une bonne année. Avec un seuil de moins de 80 jours de vente pour les biens confiés à ORPI. Les notaires eux confirment une tendance plus sage en ce début d’année. S’ils affirment que les prix des appartements vendus dans l’ancien devraient rester supérieur à 4 % et pour les maisons anciennes à plus 2 % sur des valeurs déjà intéressantes. Les notaires précisent que les volumes des transactions commencent à se calmer. Cependant certaines villes décrochent des records.

Paris affole les prix

Paris sera toujours Paris ! Une vague de douceur en immobilier mais avec des prix qui continuent à progresser, à Paris,  pour atteindre 9 300 euros au m², soit une hausse de près de 9 % en seulement un an.  Et la province décide de suivre l’exemple de la capitale, avec une hausse des prix moins évidente mais encore présente. Les notaires estiment à plus de 2,3 % les prix de ventes pour les appartements anciens, et presque encore 2% pour les maisons anciennes. Pour les notaires la tendance est à l’accalmie concernant les volumes des transactions mais avec un maintien des prix.

Des professionnels qui ne sont pas au diapason

Si les notaires notent une vague de douceur en immobilier,  avec un maintien des prix sur un plan général. ORPI note pour son réseau une légère hausse des prix sur certains biens dans les grandes villes. Néanmoins, le réseau annonce pour certains secteurs des légères baisses de prix comme à Marseille, Clermont-Ferrand, Brest, Le havre et Reims.

C’est pourquoi www.lesiteimmo.com vous propose un petit point sur les prix ce printemps. Découvrez demain les prix sur les grandes villes de France