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]]>La reprise de l’activité immobilière par suite du confinement a été instantanée. Les notaires précisent que ce n’est toutefois qu’un effet de rebond technique. Les ventes initiées avant le confinement se sont réalisées, à la réouverture des études. Le suivi des chiffres annuels permet d’établir les volumes de transactions à 973 000 sur un an. L’évolution des volumes de ventes sur un an diminue de 1,2 %. Rien d’étonnant sur les chiffres, avec la prise en compte de tous les paramètres exogènes. L’étude des chiffres notait déjà une légère inflexion de l’évolution des volumes de ventes avant l’état d’urgence. Les records de l’évolution annuel des ventes ayant atteint 1 073 000 ventes en janvier 2020. Les notaires estiment que le plafond de l’évolution avait atteint son point culminant.
La hausse des prix dans l’ancien s’accentue de manière insolente. L’INSEE publie une croissance annuelle de + 5% sur les prix. + 6,3 % pour les appartements et une progression de + 4 % pour les maisons. Par exemple, en région Parisienne les prix des appartements augmentent de 8 %. La hausse des prix en province s’accentue de 1,7 %. La nouveauté est la propagation de cette hausse à l’ensemble de nombreux territoires. De belles progressions sur le secteur Ouest Francilien avec des villes qui voient leurs prix s’envoler à + 16 % dans le Morbihan, par exemple. Néanmoins les progressions si elles existent. Elles sont moins importantes qu’auparavant.
La note conjoncturelle de juin 2020 des notaires précise : « Cet apparent déséquilibre entre des volumes fortement en baisse et des prix orientés à la hausse semble bien plus conjoncturel qu’endémique. La principale difficulté réside dans la confusion que peut occasionner la comparaison de prix avant confinement à des volumes immédiats d’après confinement ». Les professionnels s’attendent à une inflexion des volumes de vente naturelle et une tendance à une légère baisse des prix. La note fait état d’une rupture de tendance à la suite de l’ultra-dynamisme de 2019, elle constitue ainsi, un pallier de conjoncture immobilière
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]]>The post Immobilier neuf : Nantes se démarque de la hausse des prix appeared first on Lsi news.
]]>Les baromètres des portails immobiliers spécialisés dans le neuf notent une hausse des prix. Plus de 8 % à Lille, plus de 5 % à Montpellier, Bordeaux progresse de plus de 4 % alors que Marseille ne semble pas suivre cette inflation. Nantes est la seule ville sur laquelle les prix semblent reculer de plus de 2 % en immobilier neuf. Le prix moyen d’un appartement type 3 pièces (type de logement pour calcul de variation moyenne sur les 6 derniers mois) chute de 2,6 % en 6 mois. Le prix pour ce type de logement passe à moins de 300 000 euros sur la belle ville de Nantes.
C’est essentiellement le constat de la pénurie de bien, dans le domaine du logement neuf, qui explique cette tendance haussière. Le nombre de logements construit avant le confinement étant déjà moins important et le coronavirus ayant fortement accentué cet état de fait. La demande reste bien plus forte que l’offre ce qui tend les prix. De plus la baisse de délivrance des permis de construire due à la période très compliquée, ne doit pas arranger les choses.
On note que les logements neufs qui comprennent une terrasse ou un balcon restent très prisés. D’ailleurs leurs prix détiennent souvent les records sur les constructions. Bien évidemment, le confinement a propulsé ce type de bien sur le devant de la scène. Ils deviennent donc des logements rares qui maintiennent leurs prix à un montant élevé. Peut être que les futurs constructions comporteront plus de logements avec balcons ou terrasses ? Une tendance à suivre dans les mois à venir notamment pour les investisseurs.
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]]>The post L’immobilier de luxe : la pandémie fait mal au marché du luxe appeared first on Lsi news.
]]>Restrictions de circulation, fermeture des frontières, depuis mi-mars, le marché du luxe s’est arrêté. Alors que d’après les professionnels du marché immobilier de luxe, les affaires allaient bon train. Le président d’une grande enseigne précisait que le marché du luxe s’attendait à une année record. Avec l’un des meilleurs trimestres enregistrés depuis 30 ans chez Sotheby’s. Les professionnels une mauvaise gestion de crise qui pourrait entrainer une baisse des marchés financiers et donc par répercussion impacter le marché immobilier du luxe.
Néanmoins, si la région Parisienne connaissait un afflux intéressant d’acheteurs dans l’immobilier de luxe, les critères d’acquisition ont fortement changer avec la crise.
La pandémie a fait changer les besoins des investisseurs sur le marché de l’immobilier de luxe. Il semble que depuis le dé-confinement les recherches des riches acquéreurs s’orientent vers des biens avec de l’espace et de la verdure en proche banlieue Parisienne. Les acheteurs de maisons de luxe privilégient désormais les maisons avec jardin plutôt que l’appartement face à la tour Eiffel. Pour les professionnels du luxe ces nouveaux comportements devraient permettre un rééquilibrage des prix entre Paris intramuros et la petite couronne de la Capitale.
Mais bien évidemment lorsque l’on parle de rééquilibrage on n’entend pas chute des prix. Les propriétés aux abords de Paris avec du terrain vont encore atteindre des prix assez conséquents pour le marché du luxe en région Parisienne. Alors est ce que Paris sera toujours un point d’attrait pour les acquéreurs ? La belle Capitale se verra-t’-elle moins mise en avant par rapport à la côte méditerranéenne ou la belle côte Atlantique ?
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]]>The post Immobilier Lyon : une inflation importante dans le Rhône appeared first on Lsi news.
]]>L’immobilier Lyon a atteint cette année un record en terme d’inflation de prix en dépassant les 10% du prix médian au m². Ce qui porte le prix d’achat moyen à 4320 euros le m² selon les chiffres notariaux. Lyon se place ainsi avec Bordeaux comme la deuxième ville de France la plus chère au m². En effet, ceux qui ont réussit à investir dans la belle ville Lyonnaise, ont réalisé une belle opération. On estime à près de 62 % en moyenne le gain réalisé sur une opération immobilière sur les dix dernières années.
Les ménages décident donc d’investir autour de la proche périphérie de Lyon. Ce qui entraîne une importante hausse des prix dans certains secteurs bien desservis par les transports Lyonnais. Aussi, les prix augmentent dans le secteur du beaujolais pour les maisons au Nord de Lyon. Mais la tendance s’affirme également sur les secteurs de vienne, Bougoin-Jallieu ou de la côtière de l’Ain. Ces villes ont vu leurs prix progresser en moyenne de près de 7 % pour les maisons. Les professionnels précisent que les aménagements effectués sur les moyens de transports au abords de la métropole Lyonnaise favorise énormément cette « épidémie de hausse des prix ». Les ménages préfèrent acheter une maison à une heure de Lyon qu’un appartement en hypercentre où la vie devient chère. De quoi donner envie aux investisseurs de reprendre des parts de marchés pour réaliser encore de belles plus-value à l’avenir.
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]]>The post Prix immobilier : écarts de prix entre les populations d’acquéreurs appeared first on Lsi news.
]]>Selon une étude, basée sur les données notariales et Perval, qui porte sur 10 ans entre 2008 et 2018, on note une grande disparité sur les prix des biens acquis par les résidents et non résidents en France. Les étrangers non-résidents qui investissent en province ont pu bénéficier d’une baisse des prix de près de 20 000 euros sur les coûts d’acquisition. Alors que les prix des Français non-résident progressaient légèrement.
Quand on compare, les prix les étrangers non-résidents se distinguent largement des autres acquéreurs. Entre 2009 et 2011, les courbes indiquent que les prix ont progressé de manière différente en province et en île de France. Près de 8% pour les prix en province pour les acquéreurs Français. Contre 12% pour les étrangers résidents et près de 18% d’augmentation pour les étrangers non- résidents. Et si on analyse les prix en île de France, l’augmentation passe à 36 % pour les non-résidents étrangers.
Prix de vente médian par zone géographique et type de bien selon la nationalité et le lieu de résidence des acquéreurs en 2018*
Les budgets varient vraiment entre les Français résidents et les étrangers non-résidents selon les secteurs. Les secteurs Sud-Ouest et Nord- Est ne notent pas forcément de grands écarts budgétaires. La hausse est bien plus marquée pour les Français résidents lors de leurs acquisitions sur les secteurs Littoral-Ouest, Massif-Central et Centre-Ouest, où les prix évoluent de manière plus importantes. Le phénomène s’inverse lorsque l’on aborde les secteurs des Alpes, l’île de France, la Côte d’Azur et la Corse. En effet, les budgets explosent pour les non-résidents étrangers. Les prix peuvent se voir multiplier par deux sur certaines régions. D’ailleurs les logements les plus prisés par cette population d’acheteurs est essentiellement la maison 6 pièces à hauteur de plus de 40 %.
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]]>The post Nantes immobilier : comment se loger à Nantes ? appeared first on Lsi news.
]]>Une plus value de de 140 000 euros constatée sur certains appartements de quoi donner le tournis aux acquéreurs. Les notaires en restent encore bouche bée. Les prix dans la ville de Nantes flambent littéralement. En effet, les professionnels constatent la pression tous les jours de la demande par rapport à une offre trop faible. Avec un prix médian à plus de 3 000 euros/m² pour un appartement dans l’ancien, Nantes devient la 5ème ville la plus chère (hors capitale) derrière Bordeaux, Lyon, Nice et Lille d’après les professionnels du secteur immobilier.
Près de 36 % de hausse en 10 ans sur les prix de la ville de Loire Atlantique. Les classes moyennes ne peuvent plus investir à Nantes. Aujourd’hui la population des acquéreurs est essentiellement composée par les cadres. Plus de 70 % des maisons sont acquises par des cadres qui désirent devenir propriétaires de leur résidence principale (prix médian 345 000 euros).
Tous les quartiers de Nantes sont affectés par cette flambée des prix immobilier. L’hyper centre devient inaccessible. Les acheteurs essayent pour ce faire de se retrancher dans les quartiers moins populaires. Néanmoins, les prix restent encore élevés puisque l’on constate une progression de 14 % en un an. Les propositions d’achat sont nombreuses et rapide. Les ventes suivent le même fonctionnement. Les professionnels ne cherchent plus les acheteurs. Les propositions affluent dès la mise en vente d’un produit. Les ménages plus modestes doivent vraiment s’éloigner du centre ville pour pouvoir acquérir un logement. Souvent sur la première couronne dans un premier temps, puis ils dérivent rapidement sur la deuxième couronne où les prix sont plus abordables et les maisons plus nombreuses. Mais est ce que la pression ne va pas s’étendre à ses zones également ?
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]]>The post Marché immobilier : comment va le neuf ? appeared first on Lsi news.
]]>Les chiffres du marché immobilier tendent à croître encore sur cette fin d’année 2019. Si à la fin octobre le nombre de mutations atteint 1 063 000, la progression continue. Les chiffres montrent que les ventes de maisons anciennes progressent de près de 4% en un an. Alors que les appartements, eux, progressent de près de 6 % sur la même période. Les chiffres indiquent que malgré un marché actif, il reste cohérent au regard du nombre de logements détenu par des particuliers. A noter que le taux de rotation à progressé de 0,1 % ce qui permet de maintenir une offre de logement intéressante.
Le marché du neuf va plutôt à contre courant du marché de l’ancien. Les chiffres indiquent une baisse de plus de 20 % des mises en vente selon les indicateurs du 3ème trimestre. Les professionnels mentionnent une période non favorable dû à la période électorale. Ce qui n’augure pas des chiffres favorables pour ce premier trimestre 2020. Le nombre de réservations a lui aussi baissé sur cette fin d’année 2019 de près de 1 %. Quant aux annulations de réservations, elles sont à tendance haussière pour les professionnels du marché du logement neuf de plus de 7 % sur ce dernier trimestre 2019. De quoi rend un peu nerveux les professionnels du neuf. Néanmoins, les baisses de performance d’un secteur favorise la croissance du secteur de l’ancien. Cette tendance encourage ainsi le maintien, voir la croissance, des prix dans ce dernier.
Le gouvernement ayant opté pour un maintien de certaines mesures fiscales avantageuses pour le neuf, le marché du logement neuf espère voir les chiffres être plus favorable sur le deuxième semestre 2020.
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]]>The post Immobilier en France : les prix de l’immobilier des villes où se loger coûte cher appeared first on Lsi news.
]]>Sur le classement du baromètre se loger, la ville la plus chère au m² est la capitale des Gaules. Lyon caracole en tête avec un prix immobilier moyen au m² à + de 5 OOO euros. Puis on découvre, 5 villes où les prix de l’immobilier s’échelonnent de 4 789 euros à 4 113 euros. Cannes, Bordeaux, Aix en Provence, Nice et Antibes sont des villes très prisées, mais où se loger coûte assez cher. Viennent ensuite, Nantes, La Rochelle, Rennes et Toulouse, où les prix de l’immobilier oscillent sur une tranche de prix allant de 3 706 euros à 3 505 euros le m². Une belle progression constatée pour la ville de la Rochelle qui entre dans le top 10 des villes les plus chères de province.
Avec plus de 3 600 euros le m², la Rochelle entre en beauté dans le top 10 des villes provinciales, où les prix de l’immobilier s’enflamment. En effet, la belles citée corsaire devient une ville où se loger coûte assez cher. Les acquéreurs ne trouvent plus de logement car la ville est en forte tension immobilière. Acheter un bien immobilier à La Rochelle coûte plus de 8% par rapport à l’année dernière. Une belle envolée pour la ville blanche qui a profité de l’implantation de la ligne TGV Tours- Bordeaux. Les parisiens qui ne se trouvent plus qu’à 2h30 de la capitale semblent éprient de la belle citée de la Rochelle. La ville accueille de nouveaux arrivants essentiellement Parisiens. Du télé-travailleur, en passant par les retraités qui s’échappent de la folie parisienne, la ville passionne les Parisiens qui s’y évadent.
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]]>The post Prix de l’immobilier : Lyon arrive à saturation, Toulouse la ville où investir appeared first on Lsi news.
]]>Les prix de l’immobilier maintiennent leur hausse dans les 10 principales villes de France. Lyon affiche la plus forte hausse de prix de 2019. Voilà le constat du baromètre des prix de l’immobilier récemment publié.
Meilleurs Agents vient de publier les prix de l’immobilier Nationaux pour 2019 et si la moyenne Nationale indique une hausse de près de 2%, les 10 principales villes de l’hexagone dépassent les 5% de hausse.
La hausse record des prix de l’immobilier pour 2019 est atteinte par Lyon. Les prix flambent à Lyon avec une hausse de plus de 11%, suivi de près sur le podium par Nantes avec 9,5% et enfin, Toulouse, la ville rose qui progresse de Plus de 7% en 2019.
Les spécialistes économiques et financiers précisent que les baisses des taux de crédit n’est pas le seul facteur favorable à ces hausses de prix sur les grandes villes de France. En effet, ils s’accordent à mentionner également l’allongement des durées de crédit.
Les économistes pensent que la hausse des prix de l’immobilier devrait se stabiliser pour les communes rurales mais devrait continuer à progresser sur certaines grandes villes de France. Nantes et Toulouse devrait connaître encore de belle phase de progression. Les indicateurs sur lesquels s’appuient les économistes indique que le nombre d’acheteurs sur ces villes est supérieur de 27% (pour Toulouse) par rapport au nombre de biens à acquérir. De quoi booster les prix de l’immobilier sur les villes où la tension immobilière entre l’offre et la demande est de plus en plus forte.
Toulouse et Nantes on encore un peu de marge de manœuvre contrairement à Lyon. En effet, la belle Lyonnaise arrive à saturation. Les observateurs constatent que le prix du m² atteint près de 4500 € en moyenne ce qui permet à un ménage au revenu médian d’acquérir un bien de 38 m² contre 51m² à Toulouse. De plus, on constate un temps d’amortissement du bien immobilier en forte progression pour Lyon puisque l’on atteint sept ans contre quatre ans à Toulouse.
Découvrez les prix de l’immobilier à Lyon
La ville de Lyon vous propose de visitez la capitale des Gaules
https://www.youtube.com/watch?v=D2AEDSNgI3A
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]]>The post Location immobilière : quel prix pour se loger à Paris ? appeared first on Lsi news.
]]>Selon les chiffres de l’INSEE, la capitale comprend près de 61,7 % de locataires et pour se loger il faut compter un loyer moyen de 1079€ pour une surface moyenne d’environ 31 m² (soit 35,13 €/m²). De quoi donner le vertige, si l’on considère que ces loyers sont 188% plus élevés qu’en province. C’est le 6ème arrondissement de la capitale qui détient le score le plus élevé en termes de loyer puisque l’on atteint un loyer moyen charges incluses de 43,52 €/m².
Selon une étude réalisée par locservice.fr en 2018, les locations de studios ou T1 sont les plus prisées sur le marché locatif parisien. Près de 66 % des biens loués sont des meublés, ces biens sont souvent des produits qui correspondent à la demande étudiante ou jeunes actifs. C’est dans le 15ème arrondissement de Paris que la demande de location est la plus intense (13 %).
Les profils les plus demandeurs sur la location sont les étudiants avec 42 % des candidats. Ensuite, ce sont les femmes seules qui cherchent à trouver une location dans 44 % des candidatures.
Le recherche de location à Paris intramuros correspond à 36 % de la recherche globale. Pour le reste, ce sont les communes de la petite et grande couronne parisienne qui vont être privilégiées car les prix y sont plus abordables.
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