Immobilier : la rentrée dans un nouveau cycle ?

La rentrée dans un nouveau cycle du marché immobilier est elle entrain de se mettre en place ? L’état du marché au 30 juin 2020 relevé par les statistiques notariales nous éclaire. Quand est-il des prix et des tendances d’achats des franciliens ?

La rentrée dans un nouveau cycle immobilier

La reprise de l’activité immobilière par suite du confinement a été instantanée. Les notaires précisent que ce n’est toutefois qu’un effet de rebond technique. Les ventes initiées avant le confinement se sont réalisées, à la réouverture des études. Le suivi des chiffres annuels permet d’établir les volumes de transactions à 973 000 sur un an. L’évolution des volumes de ventes sur un an diminue de 1,2 %. Rien d’étonnant sur les chiffres, avec la prise en compte de tous les paramètres exogènes. L’étude des chiffres notait déjà une légère inflexion de l’évolution des volumes de ventes avant l’état d’urgence. Les records de l’évolution annuel des ventes ayant atteint 1 073 000 ventes en janvier 2020. Les notaires estiment que le plafond de l’évolution avait atteint son point culminant.

Quelle tendance sur les prix et les différents marchés ?

La hausse des prix dans l’ancien s’accentue de manière insolente. L’INSEE publie une croissance annuelle de + 5% sur les prix. + 6,3 % pour les appartements et une progression de + 4 % pour les maisons. Par exemple, en région Parisienne les prix des appartements augmentent de 8 %. La hausse des prix en province s’accentue de 1,7 %. La nouveauté est la propagation de cette hausse à l’ensemble de nombreux territoires. De belles progressions sur le secteur Ouest Francilien avec des villes qui voient leurs prix s’envoler à + 16 % dans le Morbihan, par exemple. Néanmoins les progressions si elles existent. Elles sont moins importantes qu’auparavant.

La note conjoncturelle de juin 2020 des notaires précise : « Cet apparent déséquilibre entre des volumes fortement en baisse et des prix orientés à la hausse semble bien plus conjoncturel qu’endémique. La principale difficulté réside dans la confusion que peut occasionner la comparaison de prix avant confinement à des volumes immédiats d’après confinement ». Les professionnels s’attendent à une inflexion des volumes de vente naturelle et une tendance à une légère baisse des prix. La note fait état d’une rupture de tendance à la suite de l’ultra-dynamisme de 2019, elle constitue ainsi, un pallier de conjoncture immobilière

Chiffres immobiliers : la tendance du marché immobilier pour septembre ?

La rentrée et l’immobilier vont-ils faire bon ménage ? Quelle tendance pour septembre en terme d’immobilier ? Le climat particulier de cette rentrée rend tous les acteurs assez nerveux. Et les incertitudes bloquent les décisions. Comment vont se comporter les Franciliens envers le secteur ?

La rentrée et l’immobilier, la tendance.

La résilience du marché immobilier est notable post-confinement. Les menaces restent bien présentes malgré tout. La crise touche le marché de l’emploi et par rebond le marché immobilier. Les chiffres du chômage auraient dû infléchir les données. Les notaires témoignent pourtant de la forte appétence des franciliens pour l’acquisition de bien immobilier. Mais comment se traduit ce phénomène ?

L’analyse du phénomène immobilier.

L’explication est plutôt protéiforme. Le besoin de changement de logement par peur du re-confinement tout d’abord. Ensuite on note un réel besoin de sécurisation des économies, face aux soubresauts des marchés financiers. Puis, la crainte de voir émerger de nouvelles contraintes fiscales. Enfin, plus simplement la sécurisation des économies liées au confinement qui procure une enveloppe d’apport plus importante développe les envies d’acquisition. La pierre reste pour les Franciliens une valeur refuge et une garantie capitalistique qui leurs permet de générer des revenus. Après les épisodes gilets jaunes, qui ont poussé les Français à l’économie la pandémie les encourage à l’optimisme et aux changements de vie.  « Le recentrage des orientations des Français vers des besoins essentiels, révélés par la crise sanitaire, semble naturellement les amener à considérer la qualité de leur logement. Comme un paramètre primordial, plus absolu encore qu’il ne l’était traditionnellement : un projet de vie repose sur un projet immobilier. »

En synthèse à quoi s’attendre pour la rentrée 2020 ?

La rentrée devrait être plutôt sereine, hors un profond déclin économique et/ou une catastrophe sanitaire. Le ralentissement de la folle envolée des prix. Le maintien des volumes de ventes à niveau pérenne devrait garantir la résilience du marché. A l’étude des chiffres, les notaires estiment que la rentrée devrait être l’amorce d’un nouveau cycle immobilier.

Immobilier : quels sont les évolutions pour 2020

L’immobilier, les évolutions connues pour 2020. Lesiteimmo.com vous propose un petit tour d’horizon concernant les nouveaux dispositifs mis en place par le gouvernement. La prime concernant la transition énergétique, la suppression de la taxe d’habitation, la loi « Denormandie »… Qu’est ce qui va se passer sur 2020 en immobilier ?

L’assemblée Nationale a votée le 19 décembre dernier la version définitive de la loi de finances 2020. Alors que nous propose notre gouvernement concernant l’immobilier.

Immobilier évolution – Création d’une prime de transition énergétique.

« MaPrimeRenov », active depuis le 2 janvier cette prime remplace le cumul que proposait le CITE (Crédit d’impôt pour la transition énergétique et les aides que proposaient les ANAH (Agence Nationale pour l’amélioration de l’habitat. Réservé aux ménages modestes et très modestes, la prime de 20 000 euros maximum sera versée en faveur des dépenses liées à l’amélioration de l’habitat. Cette prime sera soumise à des conditions de ressources. Vous pourrez savoir si vous êtes éligible à cette prime en vous renseignant sur le site prévu par le gouvernement : www.maprimerenov.gouv.fr ou par téléphone au 0 808 800 700.

Suppression de la taxe d’habitation pour 80 % des Français

Grand point annoncé par cette nouvelle loi de finances, la suppression pour 80 % des Français de la taxe d’habitation sur leur résidence principale. Pour les 20 % restant, que constituent les ménages « les plus aisés », il y aura tout d’abord en 2021 un allégement de 30 % de la taxe puis en 2022 une exonération à hauteur de 65 % pour finalement aboutir en 2023 à la suppression totale.

Le dispositif « Denormandie » s’élargit !

L’objet du dispositif et de permettre aux propriétaires bailleurs de bénéficier d’une réduction d’impôts lorsqu’ils achètent un logement ancien et qu’ils effectuent des travaux de rénovation. Sous 2 conditions : les travaux représentent 25 % de la somme engager pour l’acquisition du bien et le logement se situe en zone hypercentre des 222 villes éligibles pour ce dispositif.

La nouvelle loi de finance permet d’élargir le dispositif à l’ensemble des communes et non plus aux 222 éligibles. Néanmoins celles-ci devront avoir signé une convention d’Opération de revitalisation de territoire (ORT) ou celles dont le besoin de réhabilitation de l’habitat en centre-ville est particulièrement marqué.

Suppression de la taxe « Apparu » sur les micro-logements

Cette taxe concernait les propriétaires de petits logements (inférieur à 14m²) et pour lequel le montant du loyer mensuel était supérieur à un plafond fixé par décret. Cette taxe est purement supprimée à compter du 1er janvier.

Extension de la réduction d’impôt « Censi-Bouvard »

La réduction accordée dans le cadre d’un investissement dans une résidence neuves dédiées aux personnes âgées ou handicapées sera étendue aux établissements avec services qui auront préalablement obtenus l’autorisation nécessaire pour leur service d’aides et d’accompagnement à domicile. Pour rappel cette réduction pouvait s’élever à 11 %, 18 % ou 25 % en fonction de la date d’acquisition.

 

Immobilier : comment donner plus de valeur à votre logement avant sa vente ?

Depuis la mise en place du DPE (Diagnostic de Performance Énergétique), les acquéreurs sont devenus très vigilants concernant cette information lors de l’étude de leur acquisition. Alors avant de mettre en vente votre appartement ou votre maison, il est important de prendre la précaution de connaître la valeur du DPE de votre logement. Si la valeur de votre DPE est au-delà de la valeur D, il faudra envisager des rénovations qui pourrait « booster » le prix de votre bien immobilier lors de sa vente, sans pour autant que cela ne vous coûte trop cher.

Une étiquette qui fait varier les prix de l’immobilier.

Depuis le 1er janvier 2011, les étiquettes DPE sont devenues obligatoire pour toutes les ventes immobilières. La première étiquette permet de connaître la quantité de gaz à effet de serre dégagée par la maison. La seconde étiquette correspond à la consommation d’énergie de la maison. 90 % des acquéreurs d’un bien immobilier estiment que le DPE est un critère de choix pour l’acquisition de leur bien immobilier.

Aussi, lorsque le DPE indique que la future acquisition est « énergivore » (DPE D à G) les acquéreurs se font plus rares pour cet appartement ou cette maison. Cette prise de conscience s’explique par l’étude de plusieurs facteurs. Tout d’abord le constat de la montée des prix des diverses énergies qui représentent plus de 20 % par rapport à seulement 4 ans, d’où une inquiétude face à la facture énergétique pour l’acheteur. Ensuite, une étude montre que seulement 14 % des biens immobiliers mis en vente ont une étiquette énergétique en-deçà de la lettre D. La rareté de ces produits leurs confères un avantage plus qu’évident en termes de vente.

Les classes D à G se vendent moins cher.

En effet, les logements dits : « énergivore » se vendent bien moins cher que ceux qui sont classés avec une étiquette énergétique comprise entre A et C. Sur une étude faite, sur la France métropolitaine, concernant les appartements et les maisons, en prenant l’étiquette D comme valeur moyenne sur une maison, on constate des dévalorisations de prix peuvent aller de – 7% à -16 % en fonction du secteur géographique. A contrario, sur le même type de comparatif, on constate des négociations à la hausse sur le prix de vente allant jusqu’à plus de 12 % dans certains secteur géographique car l’étiquette énergétique est égale à la lettre A. Bien sûr, les produits neuf se placent forcément bien, puisque ils doivent répondre obligatoirement à l’ensemble des normes de la RT 2012.

Comme indiqué précédemment ces variations de prix en fonction du label énergétique sont étroitement liées au marché immobilier et au secteur géographique. On n’achète pas un appartement au même prix à Paris et à Lyon. Le prix au mètre carré va varier en fonction de son emplacement et de l’offre et de la demande liée au secteur géographique, voir à la rue. Néanmoins, l’étiquette énergétique sera un point qui va animer les débats sur le prix de l’achat de l’appartement ou de la maison. Un bien classé en F sera bien plus dévalorisé qu’un bien immobilier qui se verra octroyer la belle note de A par les diagnostiqueurs. De plus, la valeur énergétique sera bien plus observée par l’acquéreur lorsque celui-ci envisage d’investir dans un bien en haute montagne par rapport à un bien en plein centre ville.

L’acheteur est de plus en plus vigilant sur la classe énergétique puisqu’elle impacte directement son portefeuille. En effet, un bien mal classé engendre forcément pour l’acquéreur une surcharge en termes de chauffage. Ainsi, une mauvaise isolation pénalise fortement le prix de l’appartement ou de la maison. Les statistiques montrent que près de 60 % des acquéreurs sont près à verser un montant plus important concernant leurs loyers pour être doté d’un logement avec une note énergétique plus intéressante. De plus, les syndics constatent une forte augmentation de demandes de congés, voir de renégociation des loyers lorsque leur logement est trop consommateur en termes de chauffage.

La rénovation pour une meilleure étiquette.

Environ 70 % des vendeurs restent stoïque face à la dévalorisation de leur bien à cause de la valeur énergétique de leur appartement ou de leur maison. Tandis que les bailleurs, eux, tendent à se lancer dans les rénovations de leur patrimoine immobilier pour augmenter la valeur de leur bien et surtout pour éviter les vacances locatives qui pourraient leurs coûter cher. Voir à augmenter leur revenus en octroyant une meilleure performance à leur bien immobilier. Sachant que ces rénovations sont partiellement délocalisables  avec le POPE et que près de 88 % des acheteurs sont attentifs aux valeurs énergétique, il est temps de penser à la rénovation et surtout à ce mettre en conformité avec la norme RT2012. Nombreuses sont les agences immobilières qui subissent l’impact des valeurs énergétiques lors de la négociation du prix du bien.  De plus, cet indicateur peut rallonger de plusieurs mois la vente de votre bien si elle est considérée comme critique par les acheteurs.

Alors vous vendeurs ou vous bailleurs pensez à optimiser vos chances en rénovant votre appartement ou votre maison !

 

Lesiteimmo.com

Immobilier droit de mutation : la hausse des droits de mutation va être définitive.

La hausse des droits de mutation qui ne devait être que momentanée et ne concerner que des transactions réalisées du 1er mars 2014 au 29 mars 2016, devient maintenant définitive.

Encore une taxe qui passe inaperçue dans le flot des nombreux amendements.

Alors qu’est-ce que le droit de mutation ?

Les droits de mutation ou encore appelés droits d’enregistrement correspondent aux taxes perçus par le notaire pour le compte de l’Etat et des collectivités pour chaque changement de propriétaire d’un bien immobilier.

Le gouvernement a décidé d’autoriser les départements à procéder à une hausse de ces derniers.

Ainsi le taux de cette taxe sur la vente d’un bien immobilier est ainsi passé de 3,8 % à 4,5 %. Cette hausse qui devait être seulement momentanée et appliquée sur les transactions du 1er mars 2014 au 29 mars 2016 vient de changer de statut. Sans faire de bruit, le gouvernement a voté un amendement qui permet maintenant de conserver ce taux pour l’ensemble des conseils généraux qui le désirent.

Pourquoi garder un taux à 4,5 % ?

Le gouvernement justifie sa décision par une « gracieux » geste envers les collectivités locales qui devront faire face à des baisses de dotations provenant de l’Etat dans leurs budgets. En bref, le contribuable devra pallier à une diminution de subvention de l’Etat envers les collectivités.

 

Immobilier : Sylviane Bulteau s’attaque au bon coin

En actu, Sylviane Bulteau a proposé à l’assemblée Nationale de réglementer les ventes immobilières entre particuliers.

Elle indique que cette demande à pour objectif de limiter le manque à gagner de l’état : « si l’on considère une somme moyenne de 6 000 euros HT sur ces transactions, à laquelle on applique 20 % de TVA (…), 312 millions d’euros environ de manque à gagner pour l’État »…

Pour Sylviane Bulteau, il s’agit d’une concurrence « déloyale » vis-à-vis des agents immobiliers.

Ainsi elle  propose, dans une question écrite à l’Assemblée, de « s’attaquer aux sites de petites annonces comme Le Bon Coin ou PAP ».

Leboncoin afficherait seulement 30 % de biens de particuliers sur son site. Les 70 % restant seraient des biens proposés par des professionnels.

 

Le Marché de l’immobilier : bilan de 2013 et prévisions pour 2014

Les prévisions pour le marché 2014Le nouvelobs interroge le courtier Meilleur taux sur l’étude qu’il a commandé à Xerfi.

Les prévisions du médiateur du monde économique, Xerfi, pour l’un des acteurs financier du marché, meilleur taux, augure une stagnation des volumes des transactions grâce au maintien des taux de crédit pour l’immobilier à un niveau assez faible.

Le bilan du marché immobilier 2013 fait apparaître des prix en légère baisse et un investissement peu probant des acheteurs. Heureusement, malgré le climat économique et social difficile les acquéreurs ont montré de l’intérêt puisque les ventes ne sont pas restées nulles ! Monsieur Mirlicourtois, directeur de la conjoncture et de la prévision chez XERFI commente : « ainsi, nous anticipons un volume de 650 000 à 680 000 transactions, en recul de 3 % par rapport à 2012 » ce qui explique que les prix de l’immobilier aient légèrement régressé sans s’effondrer.

Le bilan de 2013 :

Les investissements locatifs en chute libre dans le neuf :

Sandrine Allonier, précise : « Aujourd’hui, ils ne sont que 16 % à privilégier un achat dans le neuf, contre près de 40 % en 2011… ». Le courtier a constaté une chute de 46 % sur 2 ans des investissements locatifs. Ainsi, les investisseurs représentent  moins de 10 % des demandes de crédit en immobilier cette année par rapport au 14,5 % constaté en 2011.

Les professionnels du neuf vous chouchoutentLes résidences secondaires suivent la même courbe :

La fiscalité immobilière concernant les plus-values sur les ventes de résidences secondaires qui restent à l’étude pour le projet de loi de finance 2014 a fortement entaché le volume des acquisitions de ce type de biens. Meilleur taux a constaté une courbe descendante de près de 25 % en un an. Les Parisiens qui représentent la proportion la plus élevée des acquéreurs de résidence secondaires ont  vu le taux baisser de 4 points cette dernière année.

La Fédération des Promoteurs Immobilier (FPI)Qu’en est-il du neuf ?

Si Cécile Duflot a essayé de booster les ventes en proposant un projet de loi, la Fédération des promoteurs immobiliers tire « la sonnette d’alarme ». Près de 18 % de mise en chantier restent en péril. Et les investisseurs sont restés sourds à la nouvelle loi Duflot.

sale houseQuel impact ont les taux d’intérêts sur les ventes immobilières pour 2013 ?

Le niveau des taux d’intérêt incroyablement bas cette année a permis d’augmenter le niveau du volume de crédits immobilier. Avec des sursauts concernant le nombre de dossier de crédit immobilier constatés lors du 1er trimestre et en septembre 2013. Xerfi et la banque de France estime que le montant global des crédits immobilier en France atteindra 140 milliards cette année, 40 % de plus par rapport à 2012 et un montant presque identique à 2011.

Les prévisions pour l’année 2014

Le courtier envisage une stabilisation des prix ajustée en fonction de la qualité du bien, l’emplacement et la saisonnalité. En effet, pour meilleur taux la combinaison du niveau de chômage et la hausse des taux de crédits immobilier aura de fort impact pour 2014. Les futurs acheteurs seront confrontés à la hausse des droits de mutation et le projet ALUR pourrait désengager les investisseurs.

Lesiteimmo.com

Emprunt : quel est le profil du nouvel emprunteur ?

EmpruntEmpruntis a publié une étude sur le crédit immobilier qui démontre que les prix de la pierre ont fortement progressé et restent accessibles seulement à certain profil d’ emprunteur.

Et oui, les chiffres le prouvent même si aujourd’hui, on nous annonce une légère baisse des prix en immobilier. La pierre n’est toujours pas accessible à l’ensemble de toutes les bourses françaises.

Empruntis constate que les 4 indicateurs majeurs augmentent considérablement ainsi :

  • le montant moyen emprunté explose en 2013 puisqu’il passe à 168 409 € sur l’ensemble de la France (hausse de + 5 %) et la région Ile de France se voit attribuer une belle enveloppe de 221 104 € en moyenne;
  • par ailleurs, le montant de l’apport qu’attribue un ménage à son emprunt passe à environ 52 000 euros en moyenne.
  • de plus, l’âge moyen affleure plus  les 37 ans, contre 34 ans en 2012.
  • enfin, la considération qu’en dessous de 4 500 € de revenu net, vous ne pouvez pas emprunter sereinement aujourd’hui.

En bref, ce type de profil pourra prétendre à l’acquisition d’un bien à 220 387 € en France. Soit un joli appartement de 94 m² à Strasbourg, contre un joli petit studio de 26 m² à Paris.

Alors sommes-nous tous égaux face aux crédits immobiliers que nous accordent les banques ?

Faites un test en simulant votre prêt immobilier Simulez votre prêt

Lesiteimmo.com

Compte à rebours pour le salon de l’immobilier à Lyon

reboursDans 2 jours, le salon de l’immobilier à Lyon ouvrira ses portes le 11 octobre à 10h00 à la Cité Internationale. De nombreux exposants vous accueilleront pour vous parler de programmes neufs, de construction de maisons individuelles, d’achat de patrimoine dans l’immobilier ancien.

De nombreux promoteurs régionaux et nationaux sauront vous proposer des opportunités à ne pas manquer. Rencontrez-les sur leurs stands, et échangez sur les opportunités actuelles.

Vous pourrez également assister à de nombreuses conférences pour vous informer sur les nouvelles réglementations, nouvelles lois, par exemple : présentation du dispositif Duflot, contrat et réglementation thermique. Des thèmes importants, pour prendre les bonnes décisions pour votre investissement.

Vous rencontrerez également les professionnels liés au secteur de l’immobilier, qui vous conseilleront.

Rendez-vous sur le site dédié au salon pour plus d’informations, et vous pourrez trouver vos entrées gratuites. Alors rendez-vous le 11 octobre !

Lesiteimmo.com

Gagner du temps et de l’argent en confiant votre prêt immobilier à un professionnel !

3d small people -Quel emprunteur n’a pas dû suivre la fastidieuse route du démarchage des banques ?

Nombreux sont les courtiers qui ont su prendre le virage de l’internet. Ces professionnels vous permettent d’obtenir rapidement des informations sur :

  • Les tendances des taux d’emprunt,
  • Les assurances des prêts,
  • Les différents prêts et avantages.

Ces courtiers vous proposent grâce à leur site des outils vous permettant de connaître :

  • Le montant de votre prêt,
  • Le montant de vos mensualités.

Ces outils vous permettront d’éviter les longs démarchages auprès des différents établissements bancaires.

Que ce soit auprès d’Empruntis, Meilleur taux, Cafpi, vous devrez répondre à un questionnaire concernant :

  • votre situation familiale,
  • votre salaire,
  • vos revenus,
  • vVotre projet, qu’il ait attrait à de la résidence principale, secondaire ou plus simplement pour de l’investissement.

Le courtier pourra en quelques clics vous dire si votre projet est viable et possible.  Sous 24 à 48 heures,  le courtier vous informe de la recevabilité de votre projet et le présentera ainsi à ses partenaires banquiers (environ 100).

Le courtier s’occupe :

  • de la présentation à toutes les banques susceptibles d’accepter votre projet,
  • d’obtenir le meilleur coût de crédit auprès de ses partenaires.

Si le courtier en prêt immobilier vous facilite grandement la vie en s’occupant des démarches longues, fastidieuses, il ne pourra signer de contrat en votre nom et vous devrez vous rendre en agence pour valider le crédit auprès de l’établissement prêteur.

Aujourd’hui 20 % des emprunteurs passent par internet, mais le taux augmente régulièrement.

Faites une demande, ça ne vous engage à rien, auprès du partenaire de www.lesiteimmo.com

index

 

[lesiteimmo.com]