Lyon : la solution innovante du grand Lyon pour répondre à la pénurie de logement.

Lyon, logements sociaux, face à la crise immobilière et à la baisse de la production de logements en 2023 et 2024, la Métropole de Lyon déploie une nouvelle stratégie. Ceci afin de répondre à la demande croissante de logements sociaux. À travers un partenariat public-privé inédit, la métropole s’associe avec six investisseurs afin de faciliter l’acquisition de biens dans l’ancien sans recours au droit de préemption. Une solution qui s’inscrit dans une logique « gagnant-gagnant » et vise à sécuriser 501 nouveaux logements sociaux.

Quel partenariat pour répondre à la pénurie à Lyon des logements sociaux ?

Alors que la crise du BTP continue de peser sur la production de logements neufs, la Métropole de Lyon doit faire face à une demande exponentielle : plus de 70 000 demandes de logements sociaux chaque année. Ceci alors que les chiffres sont défavorables, avec un bien disponible pour environ neuf demandes. En septembre 2023, la Métropole initiait un plan d’urgence de 10 millions d’euros pour soutenir les opérations immobilières bloquées. Ce plan se renforce en septembre 2024 par un partenariat stratégique. Parcourez la carte des logements sociaux du grand Lyon.

Six acteurs majeurs du secteur immobilier lyonnais (Compagnie Foncière Lyonnaise, Warm Up, Firme Transactions, Cabinet Muru-Thiolière, SAS 3J et Régis Roussel Développement) se engagent à réserver une part de leurs acquisitions à la création de logements sociaux. Concrètement, les investisseurs étudient l’affectation de 10 % à 20 % de la surface habitable de leurs biens à des logements conventionnés (PLS, PLAI, PLUS, PLUS-ULS). Cesi principalement dans les zones où la construction neuve est difficile et où la demande de logements sociaux est forte.

Est ce que ce modèle fonctionne ?

Ce modèle n’est pas totalement nouveau pour le Grand Lyon. En effet, il a déjà été testé avec succès en 2023. En permettant de sécuriser 87 logements sociaux à Lyon grâce à la collaboration avec la Compagnie Foncière Lyonnaise. Avec la signature de cette charte de partenariat, la Métropole passe à la vitesse supérieure. Elle sécurise 501 logements supplémentaires, dont 28 % en PLUS-PLAI et 72 % en PLS, répartis sur 26 adresses stratégiques.

Ce dispositif présente l’avantage d’accélérer la disponibilité de logements dans des zones où les prix immobiliers augmentent rapidement. Ce qui rend la préemption souvent coûteuse et difficile à justifier. Ainsi, cette solution permet d’offrir des logements sociaux à des prix compétitifs dans des quartiers en demande. Et cela tout en évitant les montages financiers lourds et complexes liés aux acquisitions par préemption.

Quels sont les avantages pour les acteurs locaux de Lyon ?

Cette initiative représente également une opportunité pour les investisseurs. En effet, céder des immeubles entiers à la Métropole permet à ces acteurs de réinvestir dans des biens avec un meilleur potentiel énergétique et conforme aux nouvelles réglementations. En contrepartie, les investisseurs acceptent de vendre à un prix inférieur à celui qu’ils obtiendraient en morcelant leurs ventes. Un effort qui s’inscrit dans une démarche socialement responsable.

Pour la Métropole Lyonnaise, l’intérêt est double. Premièrement, ces logements seront disponibles plus rapidement, permettant d’offrir des solutions aux familles en attente. Cela pour éviter la gentrification de certains quartiers. L’acquisition de biens déjà construits, souvent en bon état, permet aussi de concentrer les ressources sur la rénovation énergétique, une priorité pour la métropole de Lyon.

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Un projet d’avenir pour la métropole de Lyon pour enrayer la pénurie de logements sociaux

En associant le secteur public et privé, ce partenariat innove dans sa manière d’aborder la crise du logement. Il garantit non seulement la création de nouveaux logements sociaux, mais il répond également à l’urgence de rendre disponibles rapidement des logements en zone urbaine dense. D’ici 2025, d’autres projets similaires pourraient voir le jour. Ce qui consolidera ainsi cette stratégie pour pallier la pénurie de logements sociaux dans la région lyonnaise.

En somme, cette initiative pourrait bien représenter un modèle à suivre pour d’autres métropoles confrontées à des problématiques similaires. Elle montre que, même dans un contexte de crise immobilière, des solutions pragmatiques et innovantes peuvent être trouvées pour répondre aux besoins des populations les plus vulnérables.

Le ramonage de la cheminée : obligations légales et vertus essentielles

L’hiver approche, et avec lui, le plaisir de rallumer les cheminées pour se réchauffer. Cependant, avant de profiter de la douce chaleur du feu, il est indispensable de se pencher sur une tâche souvent négligée. Une tâche qui est pourtant cruciale : le ramonage de la cheminée. Non seulement cette opération est une question de sécurité, mais elle répond aussi à des obligations légales strictes. Explorons ensemble les aspects légaux et les nombreux avantages du ramonage.

Quelles sont les obligations légales du ramonage ?

En France, le ramonage des cheminées est encadré par des réglementations locales et nationales. Ces obligations visent à garantir la sécurité des foyers et prévenir les risques d’incendie ou d’intoxication.

Quelle est la fréquence obligatoire du ramonage ?

Selon le règlement sanitaire départemental type (RSDT), il est obligatoire de procéder à un ramonage au moins deux fois par an, dont une fois pendant la période d’utilisation de la cheminée. Certains départements peuvent prévoir une fréquence différente ; il est donc conseillé de se référer aux arrêtés préfectoraux locaux.

Ai je le droit de ramoner ma cheminée moi-même ?

Ramonage réalisé par un professionnel certifié : Il est impératif que le ramonage soit effectué par un professionnel qualifié. Ils sont souvent membre d’un syndicat des ramoneurs. Après l’opération, il délivre un certificat de ramonage qui pourra être exigé par votre assureur en cas de sinistre, notamment en cas d’incendie. Le faire vous même entraîne des risques de chutes et ne certifie pas votre ramonage auprès de votre assurance.

Quelles sont les conséquences si je ne fais pas ramoner ma cheminée ?

En cas de défaut de ramonage, plusieurs risques se présentent. Sur le plan légal, vous vous exposez à une amende pouvant aller jusqu’à 450 euros. De plus, en cas de sinistre (incendie ou intoxication au monoxyde de carbone), si le ramonage n’a pas été effectué. Ou si vous ne pouvez pas produire de certificat, votre assurance habitation pourrait refuser de vous indemniser.

Pourquoi faire ramoner est il prudent ?

Outre le fait de répondre aux obligations légales, le ramonage présente de nombreux avantages. Tant pour la sécurité de votre foyer, que pour votre confort au quotidien.

Ramonage et incendie ?

L’accumulation de suie et de créosote (une substance résineuse hautement inflammable) dans le conduit de cheminée est l’une des principales causes d’incendie domestique. Le ramonage permet d’éliminer ces dépôts dangereux, réduisant ainsi considérablement les risques d’incendie.

Mieux respirer grâce à votre ramoneur !

Un conduit de cheminée obstrué peut entraîner un mauvais tirage. Ce qui implique que les gaz de combustion, y compris le monoxyde de carbone, peuvent pénétrer dans votre maison. Ce gaz inodore et mortel est responsable de plusieurs intoxications chaque année. Le ramonage assure une bonne évacuation des fumées et protège ainsi la qualité de l’air intérieur. Chaque année en France près de 3000 personnes sont intoxiquées au monoxyde de carbone. Et malheureusement on dénombre plus de 100 décès par an à cause du monoxyde de carbone.

Source : ARS

Un rendement énergétique plus favorable

Un conduit propre permet un meilleur tirage et donc une combustion plus efficace du bois ou des autres combustibles. Cela optimise le rendement de votre cheminée. Ce qui vous permet de chauffer plus efficacement votre habitation tout en réduisant votre consommation de bois.

Augmente la durée de vie de vos appareils ?

L’accumulation de suie et de résidus dans le conduit peut également provoquer une usure prématurée de votre installation de chauffage. Procéder régulièrement au ramonage, vous permet de préserver la longévité de votre cheminée ou de votre poêle.Ramonage et environnement ?

L’environnement et le ramoneur ?

Un conduit propre réduit les émissions de polluants dans l’atmosphère. Une combustion plus complète produit moins de particules fines. Ce qui contribue ainsi à la lutte contre la pollution de l’air.

En conclusion, le ramonage de la cheminée est bien plus qu’une simple formalité administrative. Il s’agit d’une démarche essentielle pour assurer la sécurité, le confort, et la performance énergétique de votre habitation. Le respect des obligations légales et les vertus du ramonage, vont vous protéger, vous et votre famille, contre de nombreux risques.

Pour garantir un hiver serein, n’oubliez donc pas de faire appel à un ramoneur certifié, car un bon entretien est la clé d’un foyer chaleureux et sûr.

April Moon : l’art de la cuisine sur mesure et bien plus

April Moon, depuis plus de 20 ans ! Alexis Viladomat se distingue comme une référence dans la conception de cuisines équipées et de mobilier sur mesure. Entrepreneur passionné et formateur, il allie savoir-faire et créativité. Un alliage qui transforme chaque projet en un espace de vie fonctionnel et esthétique. Fondateur de l’entreprise April Moon – Cuisine & Mobilier, Alexis Viladomat continue de laisser son empreinte dans le monde du design d’intérieur.

April Moon, un ADN centré sur le client

Le cœur de la philosophie d’Alexis Viladomat est simple. Chaque intérieur doit refléter la personnalité et le mode de vie de ses occupants. « Quand on sait qu’une cuisine dure environ 20 ans, autant être bien accompagné », dit-il. Cette vision se traduit par un accompagnement sur mesure à chaque étape du projet. Ceci depuis la sélection des matériaux jusqu’aux derniers détails de finition.

April Moon, située à Craponne, à l’ouest de Lyon, n’est pas qu’un simple showroom. C’est un véritable espace où la créativité et le savoir-faire se rencontrent. Le showroom présente des intérieurs uniques et personnalisés. Depuis l’ouverture de ce showroom en 2018, la gamme de solutions innovantes et la qualité des matériaux sont mises en lumière. Et ce pour le plus grand plaisir de ses 800 clients satisfaits à ce jour.

April Moon c’est une offre complète et personnalisée

Chez April Moon, la conception sur mesure va bien au-delà des cuisines équipées. Alexis Viladomat peaufine chaque année une large gamme de produits complémentaires. Il combine mobilier d’intérieur, luminaires, chaises, tables, buffets, meubles TV, fauteuils et canapés. Chaque projet est pensé dans sa globalité, de la fonctionnalité à l’esthétique, en passant par la décoration et la durabilité.

L’innovation au service de l’excellence !

Toujours à la pointe des tendances et des technologies, Alexis Viladomat et son équipe combinent l’esthétisme et le fonctionnel. L’innovation est une priorité, car elle permet de répondre aux besoins actuels tout en offrant des solutions pratiques et modernes.

Une équipe dévouée

Bien qu’Alexis Viladomat soit à la tête d’April Moon, il n’est pas seul. L’entreprise repose sur une équipe d’experts passionnés. Tous s’engagent à offrir des services personnalisés, des solutions adaptées et un accompagnement sur mesure. En six ans, le cuisiniste s’est imposée comme une référence dans le domaine du design d’intérieur haut de gamme.

Découvrez April Moon

Alexis Viladomat vous invite à découvrir son univers via le showroom. Visitez le site web April Moon Home, ou encore la page Instagram @aprilmoonhome. Avec une approche qui allie passion pour le design, expertise technique et service client exemplaire. On transforme vos idées en réalités tangibles.

Prenons rendez-vous et faisons de vos rêves un projet concret. Soyez ambassadeur du savoir-faire unique de April Moon. Et transformez votre espace de vie en un lieu où il fait bon vivre !

Crédit immobilier :La reprise s’accélère en France

Crédit immobilier, en juillet 2024, le marché du crédit immobilier en France a montré des signes de reprise notable. On atteint 11,3 milliards d’euros de nouveaux crédits à l’habitat, selon les chiffres publiés par la Banque de France. Ce montant représente le niveau le plus élevé depuis mai 2023. Il traduit une augmentation significative de 64 % par rapport au point bas observé en mars.

Quels sont les facteurs qui favorisent la reprise du crédit ?

Cette relance du crédit immobilier est favorisée par plusieurs facteurs, notamment la baisse des taux d’intérêt, la diminution des prix immobiliers, et une légère amélioration du pouvoir d’achat des ménages. En effet, après une forte hausse des taux orchestrée par la Banque centrale européenne (BCE) pour contrer l’inflation. Néanmoins, une détente s’est opérée en juin avec une baisse d’un quart de point des taux directeurs de la BCE. Cette baisse, bien que modeste, a eu un effet tangible sur le marché immobilier.

Source : Banque de France ; premier point disponible : janvier 2003 (octobre 2010 pour la production hors renégociations) ; dernier point affiché : juillet 2024

En parallèle, le taux d’intérêt moyen des nouveaux prêts baisse jusqu’à 3,64 % en juillet. Ce qui marque un recul par rapport au pic de 4,17 % en janvier. Cette tendance devrait se poursuivre, selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA, qui prévoit une nouvelle baisse des taux en août.

Quelles sont les perspectives pour le crédit immobilier ?

Les courtiers en crédit se montrent optimistes face à cette reprise. Après une traversée durant ces deux https://www.banque-france.fr/fr/publications-et-statistiques/statistiques/panorama-des-prets-lhabitat-des-menagesannées difficiles marquées par une chute des transactions. Les banques françaises retrouvent également une certaine dynamique commerciale, soutenue par la reconstitution progressive de leurs marges.

Cependant, malgré cette embellie, un retour aux niveaux records de la période 2015-2022 reste peu probable à court ou moyen terme. En effet, les taux d’intérêt, bien qu’en baisse, demeurent plus élevés que les taux quasi nuls de cette période. De plus, l’incertitude politique en France continue de peser sur l’investissement locatif, un segment sensible aux questions de fiscalité. Notamment, les primo-accédants représentent désormais 50 % des nouveaux crédits, une hausse notable par rapport à 40 % il y a trois ans.

Les professionnels du secteur cherchent des solutions pour aider les primo-accédants et proposent des alternatives intéressantes auprès du gouvernement. Mais celui-ci donnera t’il suite ?

Aussi, bien que la reprise s’enclenche bien. Néanmoins, elle s’annonce modérée et dépendante de l’évolution des politiques monétaires et du contexte économique.

Taxe Foncière : comprendre le fonctionnement du plafonnement

Face à la montée continue des impôts locaux, notamment la taxe foncière, le gouvernement a mis en place un mécanisme de plafonnement pour alléger la charge fiscale pesant sur les propriétaires. Mais comment fonctionne réellement ce plafonnement ? On vous propose de décomposer les principes et les modalités du dispositif pour en expliquer le fonctionnement.

Qu’est-ce que la taxe foncière ?

La taxe foncière est un impôt local que doivent payer chaque année les propriétaires de biens immobiliers. Qu’il s’agisse de logements, de terrains ou de bâtiments commerciaux. Calculée en fonction de la valeur locative cadastrale du bien, cette taxe finance les budgets des collectivités locales. Ces dernières années, de nombreux propriétaires constatent une hausse significative de leur taxe foncière. Ceci en raison de la revalorisation des valeurs cadastrales et de l’augmentation des taux votés par les communes.

Principe du plafonnement !

Le plafonnement de la taxe foncière est une mesure visant à limiter l’augmentation de cet impôt pour certains propriétaires. L’objectif est la protection des ménages contre des hausses jugées excessives. Celles-ci pourraient compromettre leur capacité à payer cet impôt, en particulier pour les plus modestes.

Le plafonnement fonctionne selon un mécanisme de limitation de l’augmentation annuelle de la taxe foncière à un certain pourcentage. Ce pourcentage s’indexe souvent sur l’inflation ou un indice de référence (comme l’Indice des Prix à la Consommation). Cela signifie que, même si la valeur cadastrale du bien ou les taux communaux augmentent de manière importante. La hausse de la taxe foncière que le propriétaire payera sera limitée.

Les conditions d’éligibilité au plafonnement de la taxe foncière.

Le plafonnement ne s’applique pas à tous les propriétaires. Plusieurs critères d’éligibilité doivent être remplis.

Le plafonnement concerne les propriétaires dont le revenu fiscal ne dépasse pas un certain seuil. Ce seuil fixé annuellement et varie en fonction de la composition du foyer fiscal.

Le plafonnement s’applique principalement aux résidences principales. Les résidences secondaires et les biens à usage commercial sortent du dispositif ou soumis à des critères différents.

Pour bénéficier du plafonnement, l’augmentation de la taxe foncière doit dépasser un certain pourcentage du revenu du propriétaire. Ce seuil définit par la loi, vise à cibler les ménages les plus impactés.

Comment se calcule le plafonnement ?

Le calcul du plafonnement se fait en deux étapes principales :

Premièrement, la détermination du montant de référence. On calcule d’abord la taxe foncière en fonction des valeurs cadastrales et des taux votés par les collectivités locales, sans appliquer le plafonnement.

Ensuite, vient l’application du plafonnement. Si l’augmentation calculée dépasse le seuil défini par la loi. La taxe sera réduite de manière à ce que l’augmentation respecte le plafond en pourcentage. (Par exemple, si le plafonnement est fixé à 3 % et que la taxe augmente de 5 %, la différence de 2 % sera soustraite du montant final.)

Quels sont les effets du plafonnement ?

Le plafonnement de la taxe foncière permet de lisser les hausses fiscales dans le temps. Ce qui évite les augmentations brutales qui pourraient déstabiliser financièrement les ménages. Cependant, il faut noter que ce plafonnement ne réduit pas le montant de la taxe. Mais il en limite seulement l’augmentation annuelle.

Cette mesure est particulièrement bénéfique pour les retraités et les foyers à revenu modeste. Ceux qui disposent d’une marge de manœuvre financière plus réduite. Elle contribue également à maintenir une certaine équité fiscale, en évitant que des hausses de valeurs cadastrales disproportionnées n’affectent de manière inégale les contribuables.

En conclusion, le plafonnement de la taxe foncière est un mécanisme de protection. Il permet d’encadrer les hausses de cet impôt local pour les propriétaires les plus vulnérables. En limitant l’augmentation annuelle de la taxe, il assure une certaine stabilité financière tout en maintenant les ressources des collectivités locales. Toutefois, il est crucial que les propriétaires vérifient leur éligibilité chaque année et comprennent les critères d’application pour tirer pleinement parti de ce dispositif.

DPE : les avantages lors de l’achat d’un bien Immobilier

DPE, lorsqu’on envisage l’achat d’un bien immobilier. Désormais l’un des critères de plus en plus pris en compte est le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE). Ce document fournit une évaluation de la consommation énergétique du bien ainsi que son impact environnemental. Un DPE classé de A à G, où A représente une performance énergétique exemplaire et G un bâtiment très énergivore, peut influencer la décision d’achat. Toutefois, un DPE défavorable, souvent perçu comme un inconvénient majeur, peut en réalité présenter plusieurs avantages pour les acquéreurs avertis. Voici pourquoi un DPE mauvais peut se transformer en opportunité lors de l’achat d’une propriété.

DPE et négociation du prix d’achat

L’un des premiers avantages d’un mauvais DPE est la possibilité de négocier le prix du bien immobilier. Un bien mal classé sur le plan énergétique (classe F ou G, par exemple) peut refroidir de nombreux acheteurs potentiels. Cela peut jouer en votre faveur. Le propriétaire actuel sera peut-être plus enclin à accepter une offre plus basse, surtout si le bien est sur le marché depuis un certain temps. De cette manière, vous pouvez acquérir une propriété à un prix bien en deçà de sa valeur potentielle après rénovation.

Source : infographie Effy

DPE et subventions et aides à la rénovation énergétique

En France, des aides financières sont disponibles pour encourager la rénovation énergétique des logements. Si le bien que vous souhaitez acheter possède un DPE défavorable, vous pourrez bénéficier de subventions. Comme « MaPrimeRénov‘ », des prêts à taux zéro, ou encore des dispositifs d’incitation fiscale tels que les « Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) ». Ces aides permettent de réduire le coût global des travaux et de rendre le projet de rénovation plus attractif financièrement.

La valorisation du bien après travaux

Un autre avantage d’un bien mal noté sur le DPE est la possibilité de le valoriser de manière significative après des travaux de rénovation énergétique. L’amélioration de l’isolation, en remplaçant les systèmes de chauffage ou en installant des fenêtres à double vitrage, vous pouvez remonter la note du DPE. Ce qui vous conduit donc augmenter la valeur de votre bien sur le marché. Non seulement vous en ferez un logement plus économe en énergie. Mais vous pourrez également revendre à un prix supérieur à celui de votre achat, tout en profitant d’un confort thermique amélioré pendant que vous y habitez.

L’impact écologique positif du DPE

Rénover un bien immobilier énergivore permet de réduire son empreinte carbone et de contribuer activement à la lutte contre le changement climatique. Si vous achetez un bien avec un mauvais DPE et réalisez des travaux, vous participez à la transition énergétique et à la protection de l’environnement. Ce choix responsable peut également avoir un effet positif sur votre consommation quotidienne d’énergie, en réduisant vos factures à long terme.

Personnalisation des travaux !

Lorsque vous achetez un bien avec un mauvais DPE. Il est probable que des travaux de rénovation soient nécessaires. Cela vous donne une opportunité unique de personnaliser les améliorations. Celles-ci se feront suivant vos besoins et préférences. Plutôt que de vivre dans un bien déjà rénové par un précédent propriétaire, vous avez l’avantage de choisir : les matériaux, les systèmes de chauffage ou les solutions d’isolation qui vous conviennent le mieux. Cela tant en termes de budget que d’efficacité énergétique.

Meilleure préparation aux futures régulations immobilières

Les réglementations immobilières liées à la performance énergétique sont de plus en plus strictes en France. En anticipant ces évolutions et en rénovant un bien à faible DPE, vous vous assurez d’être en conformité avec les normes futures. Ce qui vous évite d’éventuelles sanctions ou dévalorisations du bien. De plus, un logement énergétiquement performant pourrait devenir un critère essentiel pour louer ou revendre à l’avenir. Ceci notamment dans les zones urbaines où les exigences sont souvent plus élevées.

Source : infographie Effy

En conclusion, un mauvais DPE ne devrait pas forcément être perçu comme une barrière à l’achat d’un bien immobilier. Bien au contraire, il peut représenter une réelle opportunité pour les acheteurs. Que ce soit pour négocier le prix, bénéficier d’aides à la rénovation ou valoriser un bien à long terme. Ainsi, un mauvais DPE peut se transformer en levier financier et écologique. Pour les acquéreurs prêts à s’investir dans des travaux de rénovation, il peut s’agir d’un investissement intelligent qui combine économies à court terme et valorisation à long terme.

Ainsi, avant de rejeter un bien en raison de sa performance énergétique, il peut être judicieux de considérer les nombreux avantages que cela peut offrir !

Maison d’Hôtes : du rêve à la rentabilité

Une maison d’hôtes, de plus en plus de Français sont attirés par l’idée d’ouvrir une maison d’hôtes. C’est un projet, qui allie souvent un changement de vie et la recherche d’une activité professionnelle épanouissante. Cette idée fait rêver beaucoup de citadins en quête de reconversion. Toutefois, transformer ce rêve en une entreprise rentable n’est pas une mince affaire. Entre la passion de l’accueil et les exigences financières, le chemin vers la réussite est semé d’embûches.

Maison d’hôtes et le rêve d’une vie à la campagne !

Nombreux sont ceux qui imaginent leur avenir dans une charmante demeure à la campagne. Entourée de verdure, où ils pourraient accueillir des voyageurs en quête de tranquillité. Ouvrir une maison d’hôtes, c’est avant tout offrir une expérience unique à ses visiteurs. Une parenthèse de déconnexion dans un cadre souvent idyllique. Ce projet de vie séduit particulièrement les couples et les jeunes retraités, désireux de quitter le tumulte urbain pour une existence plus paisible et proche de la nature.

Source : Le marché des chambres d’hôtes par le crédit agricole

Quelle préparation pour l’ouverture d’une maison d’hôtes ?

Avant de se lancer, il est crucial de bien se préparer. Choisir le bon emplacement, souvent rural mais pas trop isolé, est une première étape décisive. La maison elle-même doit répondre à certaines normes. Non seulement en termes de confort et de sécurité, mais aussi en respectant les critères de classement des hébergements touristiques. Il est également indispensable de réaliser une étude de marché pour évaluer la demande dans la région choisie, la concurrence et le prix que les futurs clients seraient prêts à payer.

L’investissement initial peut être conséquent. En effet, cela peut vite chiffrer si des travaux de rénovation sont nécessaires. Entre l’achat de la propriété, les aménagements, la décoration, et les frais de mise aux normes, le budget peut rapidement s’alourdir. Il est donc recommandé de prévoir un apport personnel suffisant et de se tourner vers des aides financières. Comme les prêts à taux zéro pour les travaux de rénovation énergétique ou les subventions locales pour le développement touristique.

Le défi de taille d’une maison d’hôte : la rentabilité

Si l’accueil et la convivialité sont indispensables pour fidéliser la clientèle, la rentabilité repose sur une gestion rigoureuse de l’activité. Les propriétaires de maisons d’hôtes doivent jongler entre plusieurs rôles : hôtes, gestionnaires, commerciaux et parfois même cuisiniers. La maîtrise des outils numériques est également essentielle pour se faire connaître, gérer les réservations et optimiser le taux d’occupation.

Le revenu généré par une maison d’hôtes peut varier considérablement en fonction de la saisonnalité, du nombre de chambres, et du positionnement tarifaire. Les charges courantes, telles que l’entretien, les assurances, les impôts locaux, ainsi que les frais de marketing et de gestion des plateformes de réservation en ligne, viennent également réduire la marge de profit.

La clé de la réussite : l’expérience client !

Pour se démarquer dans un marché de plus en plus concurrentiel, l’expérience client doit être au cœur de l’activité. Offrir un service personnalisé, créer une atmosphère chaleureuse et unique, et proposer des activités ou des services additionnels (comme des repas locaux, des ateliers créatifs, ou des visites guidées). Tous sont autant de moyens de fidéliser la clientèle et de susciter le bouche-à-oreille.

Certaines maisons d’hôtes misent également sur des thématiques spécifiques ou des engagements écoresponsables pour attirer une clientèle sensible à ces valeurs. L’accueil en toute simplicité, l’écoute des attentes des clients, et la capacité à s’adapter à leurs besoins sont des éléments déterminants pour assurer le succès à long terme de l’entreprise.

En conclusion, ouvrir une maison d’hôtes peut être une aventure humaine et professionnelle enrichissante, à condition de bien s’y préparer. Il est primordial de gérer l’activité avec rigueur. Derrière le rêve d’une vie à la campagne se cache une réalité exigeante. La passion pour l’accueil doit se conjuguer avec des compétences en gestion et en marketing. Pour ceux qui sauront relever ce défi, la rentabilité sera au rendez-vous. Ce qui leur permettra de vivre pleinement cette reconversion tant espérée.

Un gîte : un investissement rentable ?

Ouvrir un gîte est un projet qui séduit de plus en plus d’investisseurs et de particuliers en quête de reconversion. Mais au-delà du rêve de recevoir des voyageurs dans un cadre charmant, il est essentiel de bien comprendre les avantages et les revenus que peut générer cette activité. Cet article fait le point sur les atouts d’un gîte et les perspectives de rentabilité qu’il offre.

Les avantages d’un gîte !

L’un des principaux avantages de l’ouverture d’un gîte est la possibilité de générer un complément de revenus. Pour de nombreux propriétaires, l’exploitation d’un gîte permet de rentabiliser un bien immobilier existant, comme une résidence secondaire ou une ancienne ferme rénovée. Le revenu généré peut servir à couvrir les frais d’entretien de la propriété, à rembourser un emprunt immobilier, ou tout simplement à améliorer son confort de vie.

Gérer un gîte, c’est aussi adopter un mode de vie souvent plus calme et en harmonie avec la nature, surtout si le gîte est situé en milieu rural. Pour ceux qui cherchent à fuir le stress de la vie urbaine, cette activité peut représenter une reconversion idéale, offrant la possibilité de travailler de chez soi tout en restant en contact avec des personnes venues du monde entier.

Le marché des hébergements touristiques est en pleine expansion. Notamment en raison du développement du tourisme local et de l’essor des plateformes de réservation en ligne. Les gîtes, en particulier ceux situés dans des zones touristiques ou rurales prisées, bénéficient de cette dynamique. En outre, le tourisme durable et les séjours au vert sont de plus en plus recherchés. Ce qui offre ainsi un fort potentiel de développement pour les gîtes bien situés et bien aménagés.

En fonction du statut choisi pour l’exploitation du gîte, les propriétaires peuvent bénéficier de régimes fiscaux avantageux. Par exemple, le statut de Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP) permet de bénéficier d’un abattement fiscal ou de déduire certaines charges (comme les travaux ou les intérêts d’emprunt) des revenus locatifs. De plus, les propriétaires peuvent, sous certaines conditions, bénéficier de la réduction d’impôt sur le revenu liée à l’investissement en zone de revitalisation rurale (ZRR).

Quels revenus pour la gestion d’un gîte ?

Les revenus d’un gîte peuvent varier considérablement en fonction de plusieurs facteurs :

Tout d’abord, l’emplacement du gîte. La situation de celui-ci dans une région touristique populaire, proche des sites d’intérêt, ou offrant des activités attractives (randonnées, plages, montagnes) aura tendance à générer des revenus plus élevés. Par rapport, à un gîte isolé dans une zone moins fréquentée.

Ensuite la typologie du gîte. Le confort, la capacité d’accueil, et les équipements proposés (piscine, spa, etc.) influent directement sur le tarif de location. Un gîte haut de gamme pourra se louer à des tarifs plus élevés. Cependant il nécessitera également un investissement initial plus important.

Les revenus d’un gîte sont souvent soumis à la saisonnalité. Un gîte situé en montagne par exemple, pourra générer des revenus élevés en hiver et en été. Mais attention il peut connaître une baisse d’activité au printemps et en automne. Il est donc important de bien gérer ces variations en ajustant les tarifs ou en proposant des offres spéciales en basse saison.

Quels sont les chiffres clés à retenir pour la gestion d’un gîte ?

En moyenne, un gîte peut générer entre 10 000 et 25 000 euros de revenus annuels, selon sa taille, son emplacement et son taux d’occupation. Pour les gîtes haut de gamme ou situés dans des zones très touristiques, les revenus peuvent être bien supérieurs. Cependant, il est important de noter que ces revenus sont bruts, et qu’il convient de déduire les charges liées à l’exploitation du gîte, telles que :

Les frais de maintenance et d’entretien : nettoyage, réparations, remplacement du matériel, etc.

Les charges de fonctionnement : eau, électricité, chauffage, assurance, etc.

Les frais de gestion: si vous passez par une agence ou une plateforme de réservation, ces intermédiaires prélèvent une commission sur chaque réservation.

En fin de compte, la rentabilité nette d’un gîte dépendra de la gestion rigoureuse de ces coûts par rapport aux revenus générés.

En conclusion, ouvrir un gîte présente de nombreux avantages, tant sur le plan financier que personnel. C’est une activité qui peut offrir un complément de revenus intéressant. Voire devenir une source de revenus principale pour ceux qui parviennent à optimiser leur gestion et à se démarquer dans un marché concurrentiel. Cependant, comme toute activité commerciale, la création d’un gîte nécessite une réflexion approfondie. Il est important d’effectuer une étude de marché, et une gestion rigoureuse pour garantir sa rentabilité à long terme. Avec les bonnes stratégies, un gîte bien situé et bien géré peut s’avérer être un investissement rentable et épanouissant.

Crédit immobilier : nouveau prêt à taux préférentiel pour les Primo-Accédants ?

Crédit immobilier et rentrée sont souvent l’occasion de repenser ses projets. Et pour beaucoup, achater une résidence principale figure en tête de liste. Cependant, pour les primo-accédants, l’accès au crédit immobilier est de plus en plus difficile. Cela est du notamment aux taux d’intérêt qui dépassent actuellement les 3,80% à 3,90%, selon les données d’Empruntis pour le mois d’août 2024. Ce contexte rend l’obtention d’un prêt particulièrement complexe pour ceux qui ne disposent pas d’un apport personnel conséquent, situation fréquente pour les primo-accédants.

Lire aussi : https://news.lesiteimmo.com/2024/08/31/credits-immobilier/

Crédit immobilier : une idée nouvelle pour les Primo-accédants ?

Face à ce défi, la Fédération française du bâtiment (FFB), sous la direction d’Olivier Salleron, propose la création d’un nouveau dispositif : le Prêt à Taux Préférentiel (PTP). Ce prêt, spécifiquement conçu pour les primo-accédants, offrirait un taux d’intérêt inférieur de 2% par rapport au taux moyen du marché. Ainsi, dans le contexte actuel, un tel prêt afficherait un taux compris entre 1,80% et 1,90%. Pour rendre ce projet viable, l’État financerait la différence entre le taux du PTP et celui du marché, le transformant ainsi en un prêt aidé, semblable au Prêt à Taux Zéro (PTZ).

Contrairement au PTZ, le PTP serait accessible à tous les primo-accédants, sans condition de ressources. Cette mesure pourrait considérablement faciliter l’accès à la propriété pour de nombreux ménages qui, jusque-là, se heurtaient à des obstacles financiers insurmontables

Le débat autour du PTZ : vers un retour à des conditions plus souples ?

Parallèlement à cette proposition, la FFB plaide également pour un retour à des conditions d’accès au PTZ plus inclusives. Depuis le 1er avril 2024, les conditions d’obtention de ce prêt se sont durcies : l’achat de maisons individuelles n’est plus éligible, et seuls les logements neufs situés dans les zones tendues (A et B1) peuvent bénéficier du PTZ. Ces restrictions limitent drastiquement les options des primo-accédants.

Olivier Salleron milite donc pour un rétablissement du PTZ sur l’ensemble du territoire, incluant toutes les zones (A, B1, B2, et C) et tous types de logements, y compris les maisons individuelles. Selon lui, une telle réforme permettrait de relancer le marché du logement neuf en répondant à une demande toujours présente.

Ces propositions seront au cœur des discussions prévues entre la FFB et les instances financières, notamment lors de la rencontre du 3 septembre entre Olivier Salleron et Slavomir Krupa, président de la Société générale et de la Fédération bancaire française. Ces échanges pourraient bien marquer le début d’une nouvelle ère pour les primo-accédants, facilitant l’accès à la propriété pour un plus grand nombre de ménages.

Crédit immobilier : une bonne nouvelle pour les Primo-Accédants en 2024

Les crédits immobilier connaissent une dynamique encourageante en 2024, avec des signes de reprise. Selon les récentes données de la Banque de France, les banques augmentent progressivement la production de prêts immobiliers, offrant ainsi des perspectives positives pour les primo-accédants. Cette amélioration du marché est principalement due à la baisse continue des taux d’intérêt, rendant l’accession à la propriété plus accessible que jamais pour les nouveaux acheteurs.

Une reprise notable de la production de crédits immobiliers ?

En juin 2024, la production de prêts immobiliers a atteint 8,6 milliards d’euros. Ce qui marque une hausse de plus de 6% par rapport au mois précédent. Ce chiffre témoigne du retour en force des banques sur le marché du crédit immobilier, après une période de ralentissement. Cette reprise est particulièrement bénéfique pour les primo-accédants. En effet, ils représentent désormais une part croissante des nouveaux emprunteurs.

Source : Banque de France ; dernier point affiché : janvier 2024 (G7) et décembre 2023 (G8)

La baisse des taux d’intérêt des crédits immobilier est elle un atout pour les primo-accédants ?

L’un des facteurs clés de cette reprise est la baisse continue des taux d’intérêt. En 2024, les taux d’intérêt sur les prêts immobiliers ont atteint des niveaux historiquement bas. Ce qui réduit considérablement le coût des emprunts pour les primo-accédants. Cette baisse des taux est un levier crucial pour faciliter l’accès à la propriété, en rendant les mensualités plus abordables et en améliorant le taux d’endettement des ménages.

L’utilisation accrue des marges de dérogation est elle positive ?

Grâce à l’utilisation accrue des marges de dérogation autorisées par le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF), les banques bénéficient davantage de flexibilité pour accorder des prêts à des ménages. Ceux dont le taux d’endettement dépasse théoriquement la limite fixée à 35%. Cette flexibilité permet de financer davantage de projets d’accession à la propriété. Notamment pour ceux qui achètent leur premier logement. Les primo-accédants, souvent confrontés à des contraintes budgétaires plus strictes, bénéficient directement de cette adaptation des critères d’octroi de prêts.

Comment l’allongement des durées de crédits immobilier est elle bénéfique ?

En parallèle de la baisse des taux, les conditions pour obtenir un crédit immobilier continuent de s’améliorer. Ceci grâce à des offres de prêts sur des durées plus longues, allant jusqu’à 25 ou 30 ans. Cet allongement des durées de remboursement réduit les mensualités. Ce qui permet à un plus grand nombre de ménages, notamment les jeunes et ceux qui disposent de revenus modestes, de devenir propriétaires. Cette tendance est particulièrement avantageuse pour les primo-accédants. En effet, ils peuvent ainsi accéder plus facilement au financement de leur résidence principale.

Croissance nominale des prix de l’immobilier résidentiel (par an, %)

Sources : Oxford Economics, AEW

En conclusion, les récentes évolutions du marché du crédit immobilier en 2024 offrent des perspectives particulièrement encourageantes pour les primo-accédants. La baisse des taux d’intérêt, combinée à une flexibilité accrue des banques et à des durées de prêt plus longues, permet à un plus grand nombre de ménages d’accéder à la propriété. Ces conditions favorables marquent un tournant positif pour ceux qui souhaitent acheter leur premier logement, leur offrant des opportunités de financement plus accessibles et avantageuses.