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]]>Depuis le 1er janvier 2011, les étiquettes DPE sont devenues obligatoire pour toutes les ventes immobilières. La première étiquette permet de connaître la quantité de gaz à effet de serre dégagée par la maison. La seconde étiquette correspond à la consommation d’énergie de la maison. 90 % des acquéreurs d’un bien immobilier estiment que le DPE est un critère de choix pour l’acquisition de leur bien immobilier.
Aussi, lorsque le DPE indique que la future acquisition est « énergivore » (DPE D à G) les acquéreurs se font plus rares pour cet appartement ou cette maison. Cette prise de conscience s’explique par l’étude de plusieurs facteurs. Tout d’abord le constat de la montée des prix des diverses énergies qui représentent plus de 20 % par rapport à seulement 4 ans, d’où une inquiétude face à la facture énergétique pour l’acheteur. Ensuite, une étude montre que seulement 14 % des biens immobiliers mis en vente ont une étiquette énergétique en-deçà de la lettre D. La rareté de ces produits leurs confères un avantage plus qu’évident en termes de vente.
En effet, les logements dits : « énergivore » se vendent bien moins cher que ceux qui sont classés avec une étiquette énergétique comprise entre A et C. Sur une étude faite, sur la France métropolitaine, concernant les appartements et les maisons, en prenant l’étiquette D comme valeur moyenne sur une maison, on constate des dévalorisations de prix peuvent aller de – 7% à -16 % en fonction du secteur géographique. A contrario, sur le même type de comparatif, on constate des négociations à la hausse sur le prix de vente allant jusqu’à plus de 12 % dans certains secteur géographique car l’étiquette énergétique est égale à la lettre A. Bien sûr, les produits neuf se placent forcément bien, puisque ils doivent répondre obligatoirement à l’ensemble des normes de la RT 2012.
Comme indiqué précédemment ces variations de prix en fonction du label énergétique sont étroitement liées au marché immobilier et au secteur géographique. On n’achète pas un appartement au même prix à Paris et à Lyon. Le prix au mètre carré va varier en fonction de son emplacement et de l’offre et de la demande liée au secteur géographique, voir à la rue. Néanmoins, l’étiquette énergétique sera un point qui va animer les débats sur le prix de l’achat de l’appartement ou de la maison. Un bien classé en F sera bien plus dévalorisé qu’un bien immobilier qui se verra octroyer la belle note de A par les diagnostiqueurs. De plus, la valeur énergétique sera bien plus observée par l’acquéreur lorsque celui-ci envisage d’investir dans un bien en haute montagne par rapport à un bien en plein centre ville.
L’acheteur est de plus en plus vigilant sur la classe énergétique puisqu’elle impacte directement son portefeuille. En effet, un bien mal classé engendre forcément pour l’acquéreur une surcharge en termes de chauffage. Ainsi, une mauvaise isolation pénalise fortement le prix de l’appartement ou de la maison. Les statistiques montrent que près de 60 % des acquéreurs sont près à verser un montant plus important concernant leurs loyers pour être doté d’un logement avec une note énergétique plus intéressante. De plus, les syndics constatent une forte augmentation de demandes de congés, voir de renégociation des loyers lorsque leur logement est trop consommateur en termes de chauffage.
Environ 70 % des vendeurs restent stoïque face à la dévalorisation de leur bien à cause de la valeur énergétique de leur appartement ou de leur maison. Tandis que les bailleurs, eux, tendent à se lancer dans les rénovations de leur patrimoine immobilier pour augmenter la valeur de leur bien et surtout pour éviter les vacances locatives qui pourraient leurs coûter cher. Voir à augmenter leur revenus en octroyant une meilleure performance à leur bien immobilier. Sachant que ces rénovations sont partiellement délocalisables avec le POPE et que près de 88 % des acheteurs sont attentifs aux valeurs énergétique, il est temps de penser à la rénovation et surtout à ce mettre en conformité avec la norme RT2012. Nombreuses sont les agences immobilières qui subissent l’impact des valeurs énergétiques lors de la négociation du prix du bien. De plus, cet indicateur peut rallonger de plusieurs mois la vente de votre bien si elle est considérée comme critique par les acheteurs.
Alors vous vendeurs ou vous bailleurs pensez à optimiser vos chances en rénovant votre appartement ou votre maison !
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]]>Airbnb qui n’a pas vu les publicités concernant ce site qui permet aux particuliers de louer des chambres à travers le monde. Mais la catalogne entend faire de la résistance et a pris des mesures afin « d’ordonner et de réglementer l’offre d’hébergement touristique ».
Une taxe à la nuitée…
Voilà ce qu’a décidé la région du Nord-est de l’Espagne, la catalogne, qui est un site touristique très prisé. En effet, l’Espagne est le troisième pays le plus visité au monde. Alors pas question de laisser fuir les bénéfices de ces touristes. Le gouvernement a donc mis en place une taxe de 0,65 euros par nuit pour les propriétaires de logements situés à Barcelone. Le montant sera de 0,45 euros pour les logements situés hors de la ville.
Une limitation sur le nombre de chambre…
Deux chambres seulement au maximum et sur quatre mois maximum dans l’année. Obligation au propriétaire d’informer les autorités compétentes lors de la location de son bien et il devra passer une nuit pendant la location dans son logement. Quoi de plus plaisant que d’accueillir son propriétaire !
Pourquoi de telles mesures ?
Parce que le nombre de réservation via Airbnb a dépassé les réservations hôtelières en 2014 ce qui agace fortement les professionnels du secteur. Ainsi, le gouvernement espagnol essaie de répondre à la demande de réglementation des professionnels de cette plate-forme collaborative.
La commissaire européenne au marché intérieur à l’industrie a annoncé qu’une réglementation de ces activités devrait intervenir prochainement.
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]]>The post Propriétaire : la loi ALUR favorable ou pas pour vous ? appeared first on Lsi news.
]]>Pour les heureux propriétaires d’une maison individuelle, le durcissement des normes en termes d’assainissement, et l’augmentation du tarif du fioul pour ceux qui sont concernés, offre une perspective d’avenir inquiétante.
Alors est ce que la loi ALUR va apporter des solutions à vos angoisses ?
Comment limiter les frais avec vos prestataires et bénéficier des aides gouvernementales?
La loi Alur de Cécile Duflot, ministre du logement, prévoit en effet de donner un coup de pouce aux propriétaires d’appartement en obligeant les gestionnaires de syndic à mettre en place des forfaits pour leurs services (tout compris) et à ouvrir, pour éviter tout problème, un compte par résidence.
Mais est-ce que cette nouvelle loi sera suffisante pour diminuer les coûts ? De nouveaux prestataires envahissent le marché alors…
« Gagnez 50 % sur votre facture annuelle concernant vos frais de copropriété ! »
Un slogan publicitaire qui donne envie à tous les propriétaires d’un appartement dans une copropriété. Car avec plus de 30 % d’augmentation de charges en 5 ans, la question vient à se poser. Et oui ! sur le secteur du syndic de copropriété de nouveaux intervenants percent le marché sur la toile.
Alors qui sont-ils ?
Depuis quelques mois des sociétés de gestion de copropriété apparaissent sur le Web pour offrir des services presque similaire avec un coût divisé par deux.
Quel est leur secret ?
C’est simple une gestion totalement faite par internet ce qui divise les coûts de gestion de manière exponentiel. En effet, le papier ne leur coûte rien tout est disponible en ligne, de votre compte rendu d’assemblée générale à vos appels de charges,…. Ils ne prennent pas de surcoût quant à l’ouverture d’un compte bancaire spécifique à votre copropriété. Bien sûr cette gestion entièrement « virtuelle » avec un coût plus bas à un revers qui est la proximité. En effet, ces prestataires ne se déplacent pas pour une assemblée générale, ni pour les gros travaux. Néanmoins, si votre conseil syndical est dynamique et plutôt investi, pourquoi ne pas vous pencher sur de nouvelles solutions ?
Alur imposera à tous les syndics, au plus tard un an après son entrée en vigueur, d’ouvrir un compte spécifique à chaque résidence. Les gestionnaires seront tenus d’y déposer l’argent nécessaire à la gestion de votre résidence, ce qui devrait éviter le surcoût de 15 à 40 %, et la mauvaise gestion par le biais de reversement de somme du compte d’une résidence à une autre.
Petit bémol de la loi, cependant : elle permet aux résidences d’une quinzaine de lots de ne pas avoir un compte propre. N’hésitez pas non plus à opter pour une banque différente de celle de votre syndic lors de l’assemblée générale.
Comment limiter les frais de votre copropriété ?
Il y a un point qui est rarement remis en cause, ce sont les contrats qu’a pu signer votre syndic avec les différents prestataires qui interviennent dans votre résidence. Sachez que les renégociations sont possibles lors du renouvellement de votre contrat. En effet, on estime que vous pourrez gagner de 15 à 20 % sur vos factures.
Ensuite si les normes changent et imposent des rénovations il faudra être vigilant au surcoût que pourrait vous infliger les intervenants. En effet, d’ici à 2021 vous devrez faire réviser, pour ceux qui en possèdent, vos ascenseurs, mettre en place une télésurveillance et vérifier vos canalisations; et parfois, des frais inhérents à ces mises aux normes pourraient être évités. Pour cela, consultez les bureaux d’expertise : vous amortirez très vite leurs honoraires.
En termes de travaux, Alur impose désormais à chaque résidence de plus de 5 ans de provisionner pour les gros travaux une somme équivalente à 5 % du budget prévisionnel (somme non récupérable auprès de la copropriété en cas de revente).
Quelles sont les aides gouvernementales disponibles pour la rénovation énergétique ?
De plus certains organismes financiers vous propose désormais des prêts à taux zéro collectif.
Alors renseignez-vous sur les nouvelles solutions et étudiez bien les différentes aides pour alléger au maximum vos coûts.
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]]>En Scellier classique, la réduction d’impôt s’établit désormais à 22 % du prix d’acquisition pour un logement BBC (bâtiment basse consommation), plafonné à 300.000 euros, soit 66.000 euros étalé sur neuf ans. L’investisseur peut donc déduire jusqu’à 7.333 euros de son impôt sur le revenu tous les ans. Hors BBC, la réduction est ramenée à 13 %, soit 39.000 euros, étalé sur neuf ans.
Pour bénéficier de cette réduction d’impôt très alléchante, l’investisseur doit aussi louer le logement pendant au moins neuf ans à titre de résidence principale d’un locataire et se conformer à des plafonds de loyer selon la zone géographique dont dépend le logement. Pour le gouvernement, il s’agissait d’adapter ces zones à la réalité du marché locatif et d’éviter ainsi les erreurs qui s’étaient produites avec le dispositif Robien. De fait, à partir de janvier 2011, les loyers ont été revus à la baisse de 14 % en zone B1 et B2 et de 26 % en zone A. Une zone supplémentaire a même été créée, la zone A bis (arrêté du 10 décembre 2010) pour mieux coller au marché de la région parisienne. Le loyer plafond ne peut plus, désormais, dépasser 21,70 euros le mètre carré par mois en zone A bis, 16,10 euros en zone A, 13 euros en zone B1 et 10,60 en zone B2 (voir tableau).
A côté du dispositif Scellier classique, il existe le Scellier intermédiaire dont la connotation sociale fait souvent hésiter les investisseurs. A tort. Car si les plafonds de loyer fixés pour cette déclinaison du dispositif sont inférieurs à ceux du Scellier classique, ils restent assez proches de la réalité du terrain, s’établissant à 17,30 le mètre carré par mois en zone A bis, 12,90 euros en zone A, 9,90 euros en zone B1 et 8,5 euros en zone B2.
En contrepartie de cette modération des loyers, l’avantage fiscal concédé est plus important. L’économie d’impôt peut atteindre 32 % de l’investissement, soit 96.000 euros de réduction sur quinze ans ! Mais, dans le cas du Scellier intermédiaire, l’investisseur doit, outre les plafonds de loyer, respecter des limites en matière de revenus des locataires. Des plafonds qui ne sont toutefois pas assez faibles pour constituer un obstacle à la location.
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