Financement : les coûts des crédits immobilier et le marché immobilier

Un regain de dynamisme sur le marché immobilier. Depuis l’élection du nouveau Président Américain, les choses bougent en immobilier. En effet, les taux d’emprunt d’Etat (OAT)ont atteint 0,82 % pour revenir sagement à 0,75 % après une baisse record à 0,09 % en septembre.

Ce taux (OAT) régule les taux d’emprunt que vous proposent les banques et l’incertitude concernant la politique économique Américaine envers l’Europe engendre quelques troubles. Ceux-ci restent cependant très légers, mais on constate quelques hausses des tarifs de crédit sur certaines banques avec une majoration de l’ordre de 0,05 à 0,10 point.

 

Y a-t-il un impact sur les ventes immobilières ?

La distribution des PTZ + devraient être moins importantes car les banques ont atteint leurs objectifs commerciaux et devraient se mettre en état de latence le temps de voir, ce que réserve l’avenir. Cependant, certains professionnels indiquent que cette légère variation ne touche pas vraiment les acheteurs puisque les ventes affichent une hausse de 23 % et ils vont même jusqu’à constater une pénurie des biens à vendre. Même si les acheteurs restent sensibles aux variations des taux d’intérêts, ils ne semblent pas trop frileux et les taux encore exceptionnellement bas les poussent à acquérir un bien immobilier. Les chiffres confirment cette tendance puisqu’au 3ème trimestre 2016, on obtient le chiffre de 838 000 ventes.

Qu’elles conséquences pour les banques ?

Tout d’abord un effet de ralentissement des demandes de rachat de crédits immobiliers qui représentent selon les banquiers près de 50 % des crédits consentis.

Le deuxième effet plutôt intéressant sera sans doute de pousser les futurs acquéreurs à prendre une décision plus rapide, pour concrétiser leur projet immobilier afin de bénéficier du meilleur taux de crédit disponible.

Troisième point, la hausse des taux de crédits si elle devait se confirmer serait un bon ralentisseur de la remontée des prix sur le marché immobilier. Cependant les professionnels indiquent qu’il n’y a vraiment pas de quoi s’alarmer. Et la politique économique aurait plutôt tout intérêt à conserver des taux faibles pour soutenir l’économie.

Comment se comporte le marché immobilier ?

Alors qu’en est-il du marché immobilier ? Le mieux du monde d’après les notaires et les organismes de crédit puisqu’en 2016 ont battra les records de transactions dans l’immobilier ancien avec plus de 838 000 ventes. Certains estiment même que la tendance pour 2017 devrait voir les ventes progresser de près de 10 %.

Cependant il faut rester prudent et regarder comment le comité de Bâle dictera les règles de conduites aux organismes financiers. Les professionnels craignent que le comité exige plus de prudence des banques avec un apport de fond propre plus important, en poussant les taux variables tout en diminuant le pouvoir d’achat des revenus les plus modestes. Des systèmes d’emprunt peu plébiscités par les acquéreurs Français.

Aussi le marché immobilier devrait continuer sa marche dynamique avec plus de 11 % de ventes cette année.

Qu’en est-il des prix sur le marché immobilier ?

La reprise risque de pousser l’inflation immobilière avec déjà une hausse de près de 1,4 % sur les appartements et 2 % pour les maisons d’après les chiffres publiés par l’INSEE et les notaires de France. C’est à Paris cependant que les prix battent des records.

 

 

Immobilier Neuf : Eiffage remporte la réhabilitation du Carré Michelet (la Défense)

Un grand de l’immobilier neuf, Eiffage, vient de ce voir débloquer 80 millions d’euros par Eurosic pour la restructuration, la surélévation et l’extension de l’immeuble du Carré Michelet de la Défense.

Le groupe Eiffage s’est vu attribué la restructuration, la surélévation et l’extension de l’immeuble du Carré Michelet par Eurosic. Sept étages qui viendront rehausser les huits déjà existants, de plus le bâtiment devrait se voir ajouter un niveau « sous-sol ».

L’immobilier neuf vise l’excellence en développement durable

Eurosic plébiscité, les lieux de rencontre et l’aménagement de plateaux modulables pour améliorer la circulation dans les espaces. Le développement durable est un point important du projet et le bâtiment du constructeur Eiffage devrait être une référence dans le quartier des affaires de la Défense. De beaux atours avec des aménagements vitrés pour favoriser la lumière naturelle dans le bâtiment. Des balcons végétalisés qui donneront sur l’atrium avec des vues intéressantes. Eiffage souhaite obtenir les Breeam Excellent et NF démarche HQE « niveau Exceptionnel ».

Un chantier complexe sur Paris Défense

Une logistique complexe, un travail dans une zone urbaine où la circulation est dense. Des relations avoisinantes à gérer pendant les travaux qui devraient complexifier les relations. Un délai serré de 24 mois pour des modifications conséquentes sur le bâtiment. Des aménagements vitrés pour favoriser la lumière. Des balcons végétalisés qui donneront des vues magnifiques dans le bâtiment.

Retrouvez les annonces d’Eiffage sur notre portail lesiteimmo.com ici

Acheteur immobilier : quel est son profil ?

Acheteur : le retour ! Avec un marché qui repart un peu poussé par des taux toujours plus attractifs et des prix de ventes qui sont plus en phase avec la réalité, les acheteurs sont de retour. Alors quel est le profil de l’acheteur d’aujourd’hui ? Quel est son projet ? Quel est son financement ?

Acheteur : quel est son profil ?

Ce sont les « familles » qui seraient les plus nombreuses à se porter acquéreur d’un bien immobilier. En effet, l’étude faite par le groupe notarial Immonot.com nous informe que 69 % de couple, dont un tiers avec deux enfants, seraient prêts à se porter acquéreurs d’un bien immobilier. On constate suite à cette étude que les catégories sociaux-professionnelles les plus représentées sont les cadres pour 23 % dont l’âge moyen serait 40 ans. Leurs revenus seraient inclus dans une tranche entre 1 500 et 5 000 euros pour 77 % des acheteurs. L’étude indique que pour près de 27 % ils se classeraient dans la catégorie des primo-accédant.

Fait très marqué sur cette étude, les retraités seraient également près à devenir de futurs acquéreurs pour 35 %.

Acheteur : quel projet  ?

D’après l’étude, près de 60 % des acquéreurs souhaitent s’orienter sur un bien de type « ancien ». Dans 73 % des cas la maison reste le bien privilégié. Assez paradoxal, puisque l’étude montre que la ville est le secteur privilégié des futurs acquéreurs ! En revanche, pour 46 % des acheteurs, ils préfèrent opter pour un petit coin de campagne. Pour 26 % d’entre eux, l’achat se ferait dans l’objectif de constituer un patrimoine. De plus, dans 79 % des cas, le bien constituerait la résidence principale.

Acheteur : comment finance-t’il ?

Le crédit à long terme est l’option la plus retenue par les acheteurs. Le budget moyen pour l’acquisition oscille entre 100 000 et 250 000 euros, découvrez sur lesiteimmo.com les meilleurs produits de cette tranche .Au vu des taux d’intérêts actuels, 64 % pensent avoir recours à un emprunt pour faire leur acquisition. 56 % des acquéreurs opterons pour un emprunt de moins de 15 ans et près de 40 % vont opter pour un emprunt de plus de 20 ans.

Acheteur : quel est son profil ?

Immobilier Neuf : le boom du neuf pourquoi ?

Immobilier neuf : la reprise est de mise et les signes sont très encourageants. Une belle dynamique de reprise pour ce premier semestre 2016 qui s’explique d’après les professionnels par les avantages des lois de défiscalisation proposées par le gouvernement et la chute vertigineuse des taux des crédits immobiliers.

Quel boom en immobilier neuf ?

L’immobilier neuf a repris des couleurs et affiche une belle reprise d’après les chiffres du premier semestre 2016. Plus de 71 000 unités ont été vendues selon la FPI (Fédération des Promoteurs Immobiliers) un bond de près de 23 %. Alors, qui fait progresser les ventes ? Apparemment, la plus forte progression est tenue par les personnes qui accèdent à la propriété avec + 23,8 %. Tandis que les investisseurs, eux, affichent une progression de 20,6 % seulement.

Si les chiffres sont excellents en termes de ventes de logements neuf, l’autre signe important de progression, les délais d’écoulement moyen qui se réduisent à 11 mois contre 13,9 mois. Soit une progression de 1,1 % en province et 0,5 % en Ile de France sur ce premier semestre.

Les experts estiment que les ventes de logements neufs atteindront 384 000 unités en 2016 près de 9,4 % de hausse, par rapport à l’année dernière.

Quels sont les facteurs qui poussent cette reprise ?

Deux points essentiels, sont favorables à cette reprise de l’immobilier neuf.

Tout d’abord le niveau exceptionnellement bas des taux de crédits en immobilier. De l’inédit en France cet été, des baisses qui atteignent des records. Les professionnels affirment que cette baisse a engendré près de 23,5 % de reprise du pouvoir d’achat pour les acquéreurs. Ce qui favorise l’accession à la propriété pour les jeunes couples.

Consulter les derniers chiffres des taux de crédits sur notre article « les taux d’emprunt de l’inédit ? ».

Ensuite, les mesures du PTZ qui permettent aux primo-accédants de se projeter sur un projet immobilier d’achat. La révision du dispositif Pinel qui en changeant un peu ses règles du jeu permet aux investisseurs de retrouver le chemin de l’acquisition. Le dispositif aidant tellement la reprise, il a été prolongé jusqu’à fin 2017.

Immobilier neuf : une reprise éphémère ou du durablement  ?

Tous les signes semblent au vert pour que le boom continue à se propager. Mais les professionnels prévisionnistes qui pensent que la reprise sera effective encore en 2017, semblent soucieux qu’en a la poursuite de cette amélioration. En effet, les élections et la fin des mesures de défiscalisation pourraient engendrer un état de latence qui pourrait nuire au secteur de l’immobilier neuf.

Financement: les taux d’emprunt de l’inédit ?

Les taux d’emprunt affichent une baisse record. Alors il est temps de vous pencher sérieusement sur vos tableaux d’emprunt. Et Surtout faites appel au bon professionnel pour réviser votre emprunt bancaire.

Qu’est ce qui explique cette baisse record des taux d’emprunt ?

La centrale du financement, courtier immobilier, indique que ce sont les taux d’intérêts de la BCE qui expliquent une telle baisse. Ils sont tout simplement en dessous du zéro ce qui rend les liquidités des banques trop couteuses. Ainsi elles sont poussées à prêter pour ne pas dégrader leur propre bilan.

D’après le courtier une situation complètement inédite en France.

Pourquoi réviser vos taux d’emprunts ?

Aujourd’hui le courtier indique que nombreux sont ses partenaires qui baissent encore leurs taux de 0,05 à 0,40. Une baisse, sur une baisse la chute n’en finit plus. Une aubaine pour les acquéreurs qui peuvent ainsi bénéficier de conditions exceptionnelles. La centrale du financement précise ces baisses devraient continuer jusqu’en octobre. Aussi est-il judicieux de réfléchir à l’emprunt ou au rachat de votre crédit dans les plus brefs délais !

La centrale du financement propose grâce à ses partenaires la grille de taux suivante :

Taux d'emprunt 09-2016

Immobilier Ouest : un redémarrage ?

Immobilier Ouest : un redémarrage ? une question pertinente pour un secteur qui en effet semble retrouver le chemin des ventes. Depuis le printemps 2015 on constate une légère reprise dans la région Ouest de l’hexagone. Le marché reprend « du poil de la bête » dans les grandes métropoles et sur le littoral un peu plus de difficultés sur les secteurs ruraux attenants. Lesiteimmo.com vous propose un petit tour sur le marché immobilier « Ouest ».

Une légère reprise du marché en immobilier Ouest, où ?

C’est surtout le marché de l’ancien qui est favorisé par la reprise dans le secteur immobilier « Ouest ». On estime à + 16 % les volumes de ventes sur les appartements du secteur, et + 17 % pour les maisons. Pour les prix, les professionnels constatent en général un petit repli parfois nécessaire à la progression des volumes de ventes. Néanmoins, certaines villes sortent du lot et affiche au contraire une hausse des prix comme par exemple Rennes.

Rennes qui affiche un regain d’activité et qui attirent les jeunes couples et les investisseurs. L’hyper centre de la ville reste très prisé. Grâce à la mise en place en 2017 de la Ligne Grande Vitesse entre Paris et Bordeaux, Rennes se rapproche de la capitale est devient un atout pour les investisseurs et les promoteurs. Profitez des meilleures opportunités à Rennes avec lesiteimmo.com.

Autre ville intéressante du Nord du secteur immobilier Ouest, Nantes et la Rochelle qui offre de belles opportunités. Nantes où le prix moyen des appartements affichent une côte à près de 2 600 €, près de 2 900 € le m² pour les maisons et un loyer médian qui affleure les 11 €/m².

Mais ce qui propulse les ventes dans les grandes villes de ce secteur immobilier Ouest c’est le dispositif Pinel. Le logement neuf retrouve des couleurs et on constate une nette progression des volumes de ventes. Les chiffres montrent que près de 60 % des ventes ont concerné le neuf en Loire Atlantique. Bien sûr les investisseurs se concentrent sur les villes où le marché locatif est très en vogue.

Qu’en est il pour le secteur Sud de l’immobilier Ouest ?

Sur le Sud les grande villes tirent assez bien avantage de la reprise. Alors que les secteurs plus ruraux semblent encore un peu à la traîne en termes de volumes de ventes. La ville la plus prisé est Bordeaux avec de nombreux aménagements, un secteur économique intéressant et surtout la futur proximité de la capitale avec la nouvelle ligne TGV. les prix se négocient entre 4 000 € et 5000 € le m² en hyper centre dans la belle ville de Bordeaux. Les primo-accédants retrouvent le chemin des agences immobilières et le triangle d’or est fortement plébiscité par les acheteurs. Le plan d’aménagement de la ville est favorable à cette progression dans les années à venir et certains quartiers vont gagnés en notoriété. Trouvez votre bonheur à Bordeaux !

La côte Basque garde son attrait et le littoral continue à séduire. Les prix semblent se stabiliser sur la côte. Les professionnels constatent un regain d’activité notamment porté par les résidents à l’année. Bien sûr les biens sur le front de mer restent les plus courtisés et semblent retrouver acquéreurs. Les produits se négocient entre 850 000 € et près de 2 000 000 € pour un appartement. Si l’on entre un peu dans les terres les prix sont nettement plus abordables et sont plus recherchés pour le calme et l’espace.

Plus au Sud de l’immobilier Ouest, c’est la ville Rose qui tire son épingle du jeu. C’est le centre ville de Toulouse qui garde une côte assez élevée de part son aspect historique, mais les prix tendent à y baisser un peu. Les primo-accédants font leur retour aidé par les taux d’intérêts faibles. Les vendeurs revoient à la baisses leurs exigences en termes de prix ce qui permet de débloquer des situations qui perduraient parfois depuis de nombreux mois. Les investisseurs par contre s’enflamment pour la belle cité et investissent très rapidement dans des secteurs ou le marché locatif est très attractif. Profitez des baisses de prix sur le marché Toulousain !

 

Immobilier Est : comment se porte le marché ?

Immobilier Est : la France a du mal à retrouver un souffle au Nord-Est. Le Centre-Est semble plutôt calme et les prix se stabilisent sur un marché assez porteur. Pour le Sud-Est, la séduction reste de mise et le soleil aidant, le marché immobilier de ses villes se portent plutôt bien. Lesiteimmo.com vous propose de découvrir en détail les différentes régions de l’Est de la France.

Immobilier Est : pourquoi la reprise immobilière tarde dans le Nord-Est ?

La nouvelle région Grand-Est qui regroupe l’Alsace, la Champagne-Ardennes et la Lorraine a du mal en reprendre le dessus en termes d’immobilier. Malgré une forte concentration de population, près de 9 % de la population Française, les prix de l’immobilier restent nettement en dessous de la moyenne Nationale. On constate des prix moyens pour l’ancien qui approchent les 1 900 €/m²  et des prix pour les logements neufs qui avoisinent les 2 500 €/m². Il est à noter que près de 60 % de la population est propriétaire de son logement dans la région Grand Est.

La ville qui sort néanmoins son épingle du jeu reste Strasbourg, qui propose un prix moyen d’acquisition pour ses appartements à 2 476 €/m², pour les maisons le prix moyen affleure les 2 500 €/m² et en termes de tarif moyen locatif, Strasbourg se situe à 10,9 €/m². Dans certains quartiers de la ville les prix peuvent nettement dépasser les moyennes notamment dans l’hyper-centre de la ville. Du côté de Mulhouse, les prix se négocient ferment et les baisses peuvent atteindre les 10 %. Colmar offre de belles opportunités sur ces maisons typiques qui se négocient jusqu’à 1 700 €/m². Lorsqu’il s’agit de maison de maître les prix grimpent jusqu’à 2 400€/m².

Nancy affiche une légère baisse de ses prix de l’ordre de 4 % tant dans l’ancien que dans le neuf. En revanche les investisseurs retrouvent le marché Lorrain notamment pour l’investissement dans le locatif poussé par les taux attractifs et des mesures intéressantes.

Le marché immobilier de Reims reprend un peu vie après une chute de près de 30 % des prix. Ce sont les primo-accédants qui ravivent la flamme de la ville pour acquérir des maisons allant jusqu’à investir près de 200 000 €.

Une ville où investir, Metz qui offre un potentiel intéressant de par son aspect touristique, sa position géographique et ses atouts économique. Elle propose un large choix de biens immobiliers à des prix plus qu’intéressants puisqu’elle aussi à subit une forte chute de ces prix immobiliers tant sur les appartements que sur les maisons.

Pour le marché immobilier Est rurale, il s’effondre fortement avec des baisses de prix pouvant atteindre jusqu’à 30 %.

Immobilier Est : la région Auvergne-Rhône-Alpes où en est-elle ?

La nouvelle région du centre Est affiche plutôt une tendance haussière en termes de volumes de ventes en immobilier Est. Les prix du secteur ont tendance à se stabiliser voir pour certaines villes à diminuer légèrement. Les moyennes de prix varient énormément en fonction de la ville où vous souhaitez faire une acquisition en effet, les prix les plus faibles se situent sur St Etienne avec un prix moyen à 1 367€/m² pour grimper à 3 708 €/m² à Lyon, voir 3 897 €/m² à Annecy. Pour les maisons le contraste est fortement marqué en fonction des villes, voir des départements. On peut atteindre des baisses de l’ordre de 3 % et des augmentations du même pourcentage.

La ville la plus convoitée reste Lyon. La ville ayant connu la pénurie des biens, elle a souffert d’une baisse de volume de transactions. Mais le marché semble changer les acquéreurs sont bien plus aguerris et les vendeurs semblent revenir à la raison concernant leurs prix de vente. Ville où il fait bon vivre la 3ème ville de France reste un pôle immobilier attractif. Son passé, son architecture, son dynamisme, ses écoles, sa réputation culinaire la valorise énormément et favorise les transactions qui s’effectuent selon les professionnels en des temps record.

Les aménagements urbains et l’augmentation du parc immobilier dans certains quartiers comme confluence offrent des perspectives intéressantes malgré des prix qui peuvent atteindre pour un achat à Confluence 7 000€/m².

Découvrez le nouveau quartier de confluence en vidéo :

Les quartiers plus « populaires » qui offrent une ambiance plus familiale, tel que les pentes de la Croix Rousse ou la place des Terreaux restent des quartiers fortement demandés et les prix d’achat moyens oscillent entre 3 500 €/m² à 4 500 €/m². Le quartier très prisé du Parc de la tête d’Or reste un quartier très « haut de gamme » mais aussi très familiale où les prix restent aussi très élevés puisque l’on peut atteindre également 7 000 €/m² à l’achat.

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Immobilier Est : le Sud-Est toujours un pôle d’attraction ?

La région ensoleillée, le Sud de la France continue à séduire les acquéreurs. La majeure partie des départements ont constaté une hausse de leurs volumes de transactions par exemple les Alpes de Hautes Provence avec + 13 % de ventes, le Vaucluse qui affichent + 11 %, le Var qui indique près de 16 % d’augmentation. C’est l’acquisition de biens « anciens » qui remporte la palme après une légère correction des prix à la baisse l’année dernière. Mais les villes les plus côtés en termes de prix restent les villes du littoral. On passe de 2 200 €/m² pour un appartement à Toulon pour atteindre 3 850 €/m² à Nice. Pour le marché de la maison individuelle où les baisses ont été un peu plus marquées, on se positionne à 325 000 € à Marseille pour atteindre près de 500 000 € à Aix-en Provence.

Nice voit son activité reprendre de la vigueur avec de plus en plus de primo-accédant et le retour des investisseurs. Cependant le marché Niçois souffre de la pénurie de biens. En effet, on constate qu’il y a 1,3 acheteur pour 1 vendeur. Les prix restent stables sauf pour le triangle d’or où les prix affleurent les 7 000 €/m².

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Marseille reste une ville à fort potentiel. La ville offre de belles opportunités d’achat ce qui porte à de forte négociation en termes de prix pouvant aller jusqu’à 6 % de baisse. En revanche les volumes de ventes, eux, augmentent favorablement. L’offre est importante et laisse des stocks intéressants pour les acquéreurs. Aujourd’hui les professionnels estiment entre 1 à 3 mois le délai d’acquisition. Concernant les villas, les prix oscillent entre 380 000 € à 420 000 € pour une villa entre 100 à 120 m². Marseille travaille également à l’aménagement de ses voies de circulation afin de favoriser le désengorgement de certains axes. Ce qui favorisera certains quartiers et permettra de mieux ventiler les ventes.

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Immobilier Hauts-de-France : comment va le marché ?

Immobilier Hauts-de-France : marché encore assez atone. Mais les efforts fournis par les collectivités pour désindustrialiser leurs villes, commencent à faire progresser le marché dans le bon sens. L’optimisme est au rendez-vous. Les prix sont toujours sur une tendance baissière dans cette région du Nord. La partie locative n’aide pas franchement les professionnels du secteur, malgré une baisse des prix. Cependant les grandes villes du Nord se voient plébiscitées par les acquéreurs.

La progression du marché immobilier « Hauts-de-France » est-elle positive ?

Après « l’union », suite à la décision gouvernementale de restructurer les régions, du Nord, du Pas-de-Calais et de la Picardie, les grandes villes de ses secteurs ont décidés de revoir leurs environnements pour redynamiser leur marché immobilier. Ainsi, la désindustrialisation de la région « hauts de France » permet l’implantation de nouvelles activités portées sur le secteur tertiaire. Ce qui offre de nouvelles perspectives au marché immobilier en trop faible évolution.

Les campagnes ne montrent pas une forte activité. Cependant les zones d’activités crées par la région attirent de plus en plus de primo-accédant. Au vu des prix assez bas de la région aux « Hauts-de-France », ils accèdent à la propriété en achetant de préférence des maisons à des prix assez bas entre 150 000 € et 200 000 €. Les secondo-accédants eux préfèrent se rapprocher des métropoles de la région des « Hauts-de-France » qui sont mieux desservies et proposent plus d’opportunités.

Qu’en est-t ’-il des prix du marché immobilier « Hauts-de-France » ?

Concernant le marché de la transaction en immobilier en Hauts-de-France, les prix sont toujours en baisse et nettement inférieurs à la moyenne Française. Ils chutent de 5 % encore cette année dans l’ancien. Le prix moyen au mètre carré oscille entre 2 000 € pour l’ancien et 2 500 € pour le logement neuf. Malgré une forte densité de population, la demande reste très faible. Il faut noter que le parc des logements est constitué essentiellement de maisons individuelles à hauteur de + de 70 %. Et que 90 % de l’occupation de ses maisons correspond à de la résidence principale.

Pour le parc locatif, en immobilier « Hauts-de-France« , malgré une baisse des prix, ce secteur subit un fort ralentissement, très marqué dans les appartements ou maisons de l’ancien. Les locataires préfèrent, à la vue des prix, s’orienter vers les appartements neufs proposés par les promoteurs. En effet, ils peuvent bénéficier des avantages des lois de défiscalisation et favorisent les appartements avec plus de confort et d’aménagements. Le marché locatif dans la région des Hauts-de-France est essentiellement orienté sur les appartements de type T3. Au-delà de ce type de bien, les ménages louent plus facilement une maison.

Comment se porte le marché immobilier sur les métropoles Hauts-de-France ?

Lille a retrouvé un petit regain d’activité notamment auprès des investisseurs qui portés par les nouvelles lois investissent dans les petits logements, qui représentent le cœur des biens prisés par les locataires. Les prix moyens se sont stabilisés dans la ville Lilloise et on assiste au retour des acquéreurs. Bien sûr les prix doivent être en phase avec l’état des biens et pour la plupart les ventes s’effectue dans les trois mois pour les mieux placés, voir un mois si le bien est situé dans un quartier très prisé. Les professionnels constatent que le vieux-Lille reste très prisé ainsi que les quartiers de Vauban et St Michel. Le Sud de la ville reste encore un marché difficile et les biens si vendent uniquement si le prix est en phase avec le produit.

Valenciennes bénéficie, elle, d’un élan plus poussé des acquéreurs et investisseurs. De par sa situation géographique, la ville connaît un engouement très marqué pour son parc immobilier. Dû essentiellement au vaste programme lancé il y a 15 ans pour sa rénovation urbaine et sa création de nouvelles activités économiques. La réhabilitation des quartiers de Valenciennes a redynamisé le marché immobilier.

En synthèse,  les prix se maintiennent dans les grandes villes de la région des « Hauts-de-France ». Le prix moyen des appartements oscille de 1 520 €/m² à Roubaix à 2 495€/m² à Lille. Pour les prix moyens des maisons on passe de 1 152€/m² à Roubaix pour 2 396€/m² à Villeneuve d’Ascq. Les loyers moyens sont plus attractifs sur la ville de Douai à 8,40 €/m² et plus élevé sur Lille avec 12,50 €/m².

Découvrez la ville de Lille en vidéo présentée par la ville :

 

Copropriété et assurance font ils bon ménage ?

Une copropriété, voilà où vous logez ? Donc vous êtes susceptible de devoir faire face à des inondations, des incendies, des dégâts divers et variés qui peuvent être mal couverts par l’assurance de votre copropriété. Faites un point, sur les bonnes options pour être bien couvert !

Dans la plupart des copropriétés, la souscription d’une assurance multirisque est parfois imposée par le règlement de copropriété et entre dans les charges de celle-ci. Si cette assurance n’est pas une obligation légale, il est néanmoins préférable de bien s’assurer quand on occupe un logement en copropriété. En effet, le vieillissement et le mauvais entretien du parc immobilier engendre de plus en plus de sinistre chaque année. On constate une évolution de 5% à 10 % par an du nombre de sinistres, avec une augmentation également de l’importance de ceux-ci. Ce qui provoque, bien sûr, une augmentation proportionnelle de vos coûts d’assurance à hauteur d’un pourcentage équivalent.

Pourquoi votre copropriété doit-elle prendre une couverture multirisque ?

La couverture multirisque qui couvre votre copropriété intervient en cas de dommages aux biens immobiliers de la copropriété ou à ses embellissements. Le plus souvent les contrats couvrent les risques contre la foudre, l’explosion, les dégâts des eaux, l’incendie, la tempête, la neige, la grêle, les catastrophes naturelles et technologiques, les bris de glace et le vol. Le contrat couvre également la responsabilité civile qui est un risque qui doit être obligatoirement couvert depuis la loi ALur.

Quelles sont les options à étudier pour une bonne couverture ?

Chaque bien immobilier à ses propres spécificités qui sont parfois mal appréciées par les assurances « génériques ». Il faut donc être vigilant dans un premier temps à vos garanties étendues. Vérifiez ensuite le plafond d’indemnisation maximal que propose votre assurance de copropriété. Il est de bon ton de faire un point sur les garanties qui couvrent les dégâts les plus fréquents sur les copropriétés qui sont les incendies et les dégâts des eaux. Scrutez, la clause de votre contrat qui garantit la protection juridique et celle qui garantit les charges impayées. Important de contrôler si le contrat de votre copropriété considère les copropriétaires entre eux comme des tiers et non comme des assurés afin que la garantie fonctionne en cas de dommage.

Alors renseignez-vous et n’hésitez pas à faire des simulations d’assurance, afin d’opter pour la bonne option !

Les prix en Ile de France : un regain pour 2016 ?

Les prix en Ile de France : après quatre années difficile et un marché à tendance attentiste, l’Ile de France reprendrait-elle un peu le vent en poupe pour 2016 ? Si le marché immobilier Francilien rebondit un peu il reste cependant de grandes disparités selon les villes. Un petit point en Petite et Grande couronne ainsi qu’à Paris.

Peut-être une légère hausse des prix en Ile de France?

L’Ile de France, affiche de l’optimisme en termes de volumes de ventes pour 2016, est ce malgré une légère hausse des prix. Cependant, les variations restent très différentes suivant les villes. En effet, les professionnels constatent que depuis fin mai 2016, les prix restent assez élevés dans les départements notamment à Paris.

Les prix des appartements en Ile de France augmentent en moyenne de 1,1% et les maisons dans cette région augmentent en moyenne de 0,5 %. Soit un coût moyen au mètre carré pour un appartement de 5 280€/m² et 287 500 € pour une maison dans la région Ile de France.

Néanmoins, le marché immobilier en région Ile de France, restent assez actif puisque les chiffres indiquent que 36 290 biens anciens ont été vendus au printemps 2016, notamment entre mars et mai, soit 13 % de plus que l’année dernière à la même période. Cette hausse s’explique notamment d’après les experts par les taux d’intérêts assez exceptionnels.

La disparité des prix en Ile de France, une réalité dans la petite couronne ?

On note sur cette région une grande disparité sur les prix en Ile de France notamment, des appartements dans la petite couronne. En effet, les prix des appartements se négocient en moyenne à 4 230€/m², avec une baisse moyenne de 2 %. Néanmoins, les prix varient de ville en ville, en passant du simple au quadruple, de quoi donner le vertige. On évalue les écarts de 2 500 €/m² à plus de 10 000€/m² dans certaines villes. Par exemple, Courbevoie baisse ses prix de 3,1 %, alors que Asnières sur Seine remonte sa cote de près de 1%. Une belle hausse pour Pantin où les prix flambent de près de 5,2 %. La plus forte progression reste à attribuer à Villejuif où les prix se sont envolés à + de 8,3 %. Pour les maisons tous les prix affichent des hausses que ce soit à Colombes, Montreuil où les pourcentages atteignent 17 % d’augmentation.

Qu’en est-il des prix en Ile de France sur la grande couronne ?

Marché bien plus complexe, la grande couronne se porte mieux. La reprise a néanmoins fait son retour et les hausses des volumes de ventes touche également ce secteur de l’Ile de France. Dans certaines villes, les ventes d’appartements grimpent de près de 18 % dans l’ancien et les ventes de maisons, elles, dépassent les 19 %. Augmentation des ventes due à la chute des prix de plus de 5 % dans des villes comme Versailles, voir plus de 7 % à St Germain en laye. Cependant dans des villes comme Cormeilles en Parisis la tendance est totalement inversée les prix approche des augmentations de près de 13 % dans certaines villes. Si les appartements dans l’Essonne et la Seine et Marne montrent une certaine stabilité sauf certaines villes, les prix des maisons en revanche affleurent une progression de près de 15 % notamment à Yerres.

Et à Paris comment se porte le marché ?

Avec une demande toujours constante et des acheteurs de plus en plus aguerris les ventes sur la ville de Paris progressent poussées par des taux encore plus qu’intéressants. Néanmoins, les prix, eux, se voient multipliés par un coefficient de 3,4 dans la capitale. Mais Paris reste Paris, et la diversité des micro-marchés font varier les prix du simple au double. Les quartiers centraux de Paris peuvent atteindre des prix au m² de 12 500 €, par exemple Notre Dame, les Invalides,… Alors que les quartiers plus modestes comme La goutte d’or ou la Villette voient leurs prix plafonner à un peu plus de 6 000€/m². Les quartiers les plus chers de Paris restent St Germain des Prés et Odéon où l’offre et nettement inférieur à la demande ce qui porte les prix à près de 14 000€/m². Pour des prix plus raisonnables, il faudra vous tourner vers les XIXème et le XXème arrondissement où les prix plafonnent à 6 500 €/m².

Les professionnels du secteur ont constaté une hausse moyenne de plus de 2 %. Cette hausse jouant un rôle important dans la hausse des prix de la région Ile de France. On constate sur Paris une hausse plus importante sur les prix des petits appartements de type studio ou T2 qui représentent plus de 60 % des ventes. Les T3, eux, représentent près de 25 % des volumes Parisien. A contrario, les appartements de plus grandes surfaces restent dans les stocks des agents plus facilement que les petites surfaces qui partent relativement vite.

En termes de loyer, Paris constate une légère baisse des loyers. Il faut savoir que 2 ménages sur 3 est locataire dans la capitale. Les professionnels estiment la baisse à plus de 1,5 % en un an. Mais la disparité reste toujours de mise dans ce secteur aussi. Le XIXème arrondissement restent le plus accessible avec un prix de 28€/m².